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Christine I : Prémices et frustrations (4)
Datte: 12/10/2017, Catégories: Hétéro
... les yeux mi-clos. Un minuscule mouvement de bassin fait frotter mon gland à son petit trou. Elle gémit. Je l’allonge sur le canapé, couchée sur le côté. Son gros cul boudiné par les jarretelles est excitant au possible. J’écarte ses fesses et me penche dessus. Ma langue titille son sensible orifice, y glisse, Christine est surprise mais ne me repousse pas. Au contraire, elle semble petit à petit apprécier. Je m’allonge derrière elle et lui introduis un doigt dans le cul. Puis un second. Je masturbe doucement. Christine me regarde sans dire un mot, le souffle court, haletante. Je retire mes doigts et, les yeux toujours dans les siens, place ma queue contre son anus. Je pousse légèrement puis attend. Si Christine le désire, elle n’a qu’à pousser vers l’arrière et mon gland pénétrera son cul. Les secondes durent une éternité. ymfyqqwn "Je ne peux pas". Christine me repousse doucement. Elle semble plus déçue que moi et surtout, bien plus frustrée. Nous nous caressons encore quelques instants, puis je me lève et m’habille. Elle me regarde tristement et m’accompagne à la porte. Dernier baiser, dernières caresses. Je lui fais part de mes regrets : — J’aurais adoré être ton premier. — En quelque sorte, tu l’as été. Elle fait une pause : — On ne sait jamais ce qu’il va advenir. La vie nous réserve parfois des surprises. — Comme un porte-jarretelles sous une jupe un soir d’été. Elle éclate de rire. J’en rajoute. — Ou d’être bien proche d’un "fantasme complet" ! Elle rit et devient écarlate. Puis sérieuse, elle ajoute : — Peut-être que nos chemins se croiseront dans d’autres conditions, plus propices... Dernières caresses à ses douces fesses, elle rit. Je descends l’escalier. Ça me fait un peu chier d’être "recalé" ainsi. Qui plus est, par une femme vêtue d’un porte-jarretelles. Les derniers jours de l’année scolaire seront difficiles mais dès les vacances, je perds totalement contact avec Christine qui déménage durant l’été.