1. Un amour... de maison


    Datte: 19/09/2020, Catégories: fh, fplusag, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, délire, fantastiqu, poils,

    ... propriétaire était…— Adrénaline ? Il ne faut pas croire tout ce qu’on vous dit, mon jeune ami. Elle en est tout juste la gardienne.— Ah bon ! Cela n’explique pas ce que vous faîtes là. J’ai un bail en bon uniforme !— Vous occupez les lieux ! Vous êtes mon hôte en quelque sorte ! Mais ne soyez donc pas si matérialiste, mon jeune ami ! Vous avez besoin de vous détendre. Laissez-vous aller à la douceur du moment. Avez-vous apprécié ce petit cru ? 1921 était une excellente année. Nestor ! Le larbin remplit les verres. Peu à peu Maxime lâchait prise. La voix mélodieuse de son interlocutrice avait sur lui un effet hypnotique (à moins que ce fût le vin qu’il avait bu trop vite !). Ce n’était qu’un rêve, alors autant en profiter. Surtout que la vieille, sans doute sous l’effet du second verre, lui semblait moins rebutante. Les mets se révélaient délicieux ; Nestor, en maître d’hôtel zélé, ne laissait jamais son verre vide. Aussi lorsqu’arriva le dessert, Maxime était légèrement pompette et ne se posait plus de questions. Il avait bien conscience que la vieille (peut-on traiter de vieille une quinquagénaire avec une telle plastique) lui tirait les vers du nez. Elle ne devait plus ignorer grand-chose de sa vie alors que lui-même n’avait pas appris grand-chose, mais il n’était pas sûr d’en avoir envie. Sur son invite, ils gagnèrent le boudoir où ils s‘installèrent tout naturellement sur le Récamier. Nestor apporta une bouteille de fine Napoléon et une boîte de cigares. Après avoir ...
    ... servi, il fut congédié. — Enfin seuls. Ah, si ce sofa pouvait parler, il vous ferait rougir, mon jeune ami ! Mais il n’avait jamais été traité comme vous l’avez traité avec votre catin, l’autre soir.— Co… comment…— C’est oublié. Prenez un cigare. Ils sont excellents. Mon défunt mari, le marquis, les faisaient venir directement de Cuba. Il avait bien mangé, bien bu. Un bon cigare, surtout virtuel, ne pouvait lui faire de mal. Il en alluma un. — Je ne fume pas, mon bon, mais le marquis adorait, pendant qu’il fumait son Havane, que je lui fasse une gâterie, soupira la marquise en lui dégrafant adroitement la braguette et en extrayant un sexe tout mou.— …— J’espère que vous allez réagir, mon bon, car votre étendard a piteuse allure ! Je l’ai déjà vu plus fier. Les lèvres de la dame épousant parfaitement les contours du gland eurent l’effet escompté. L’étendard se releva et gonfla, gonfla. Maxime tirait nonchalamment sur son cigare tandis que la marquise tétait voluptueusement son gland. Les lèvres carminées glissaient sur une hampe qu’elle lubrifiait avec sa salive. La diablesse effectuait cette fellation dans un ralenti qui maintenait une érection des plus intéressantes sans pour autant déclencher une montée hâtive de sève. Si elle sentait la moindre tentation poindre, elle cessait son offensive, les lèvres collées à la braguette. Maxime voguait dans un état de bien-être proche de la béatitude. Elle pouvait le sucer comme ça toute la nuit. Pourvu qu’il ne se réveille pas. À la ...
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