Un amour... de maison
Datte: 19/09/2020,
Catégories:
fh,
fplusag,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
délire,
fantastiqu,
poils,
... seconde où il tira l’ultime bouffée de son cigare, elle stoppa sa tétée et, retrouvant une position qui seyait mieux à son rang, elle lui déclara : — Mon ami, nous avons une chambre où nous allons pouvoir nous ébattre ! Je n’ai plus l’âge à me faire trousser sur un sofa ! Ces paroles sortirent Maxime de son nirvana. La trousser ! Au-delà du désuet de l’expression, il n’avait aucune envie de la trousser. Il voulait juste qu’elle continue de le sucer. En même temps c’était égoïste. Plus l’âge ? Elle n’était pas si vieille que ça. Il est sûr qu’elle faisait guindée dans sa stricte robe qui ne laissait rien voir de son corps bien qu’elle eût du mal à dissimuler le volume conséquent d’une poitrine agressive qui menaçait d’en faire exploser l’étoffe. Mais une fois nue, un peu de gymnastique ne devait pas lui faire peur. La galanterie avant tout. Il se leva, sa verge toujours au garde-à-vous, tendit la main à sa propriétaire. Elle passa son bras sous le sien et l’entraîna vers la chambre. ********** Nouvelle surprise : lorsqu’ils pénétrèrent dans la pièce, une femme de chambre digne de Célestine, l’héroïne d’Octave Mirbeau, les attendait. — Mettez-vous à l’aise mon ami pendant que Josefina m’apprêtera. Les deux femmes disparurent dans la salle de bain attenante. Maxime se trouva soulagé, habitué au fringues virables en quelques secondes, il ne se sentait pas de déharnacher la marquise. Il se retoupa rapidement à poil sous sa couet… plus de couette, mais un drap brodé aux initiales ...
... DGSV, un édredon évidemment en plumes. Il s’assit confortablement. Les secondes s’écoulaient, madame de Saint-Vit prenait son temps. Y’avait du ravalement de façade dans l’air. Sa provisoire solitude le ramena à un bref instant de lucidité. Il nageait en plein délire onirique mais tout cela semblait si concret, si palpable (palper les seins de la marquise !)… Pourtant il rêvait ! Il ne pouvait que rêver. Le seul fait qu’il ait commencé le repas avec une octo (bien) génaire à la blanche chevelure et qu’il venait de franchir la porte avec une femme brune dans la force de l’âge ressemblant étonnamment à sa logeuse, en était une preuve suffisante. Il n’avait qu’une crainte : se réveiller avant son retour. Lorsque Sidonie réapparut, il fut soufflé ! Elle ne portait qu’une chemise de nuit. Très chaste puisqu’elle descendait jusqu’à ses chevilles, osée car un décolleté savant découvrait sans vraiment les montrer deux jolis oiseaux très, très bien nourris et impudiques : la transparence de l’étoffe à la lumière laissait deviner chaque ligne de son anatomie et la sombre noirceur de son triangle intime. La dame ne devait pas s’exposer au soleil : le gommage du maquillage révélait une peau d’une blancheur laiteuse. — Ne me regardez pas comme ça, mon jeune ami ! Éteignez plutôt cette lumière, que la pénombre cache des ans l’irréparable outrage !— Arrêtez de dire des bêtises, Madame la comtesse…— Marquise, seulement, mon jeune ami ! le coupa-t-elle.— Marquise, duchesse, comtesse ! Rien à ...