1. L'invitation au château


    Datte: 20/09/2020, Catégories: fh, fhh, fbi, hplusag, extracon, cocus, Collègues / Travail fsoumise, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme Oral sm, piquepince,

    C’était un sentiment étrange. Dans la voiture, chacun repensait à la réunion qui avait rassemblé l’essentiel des salariés de cette grosse boite informatique. Ce genre de « pot de fin d’année » qui avait tout pour être ennuyeux. Il y avait eu plus de deux cents convives autour d’un buffet. Estelle et Loïc s’étaient rendus à cette invitation parce qu’ils ne pouvaient pas faire autrement. Le boss avait cette qualité fastidieuse de connaître personnellement chacun de ses employés et personne ne pouvait couper à cette messe célébrant la réussite éclatante de l’entreprise… Il était difficile de jouer l’anonymat, mais en plus la tournure des évènements avait anéanti leur volonté de fuir au plus vite. Par des circonstances fâcheuses, lorsqu’ils s’étaient assis pour déguster leurs amuse-bouches, ils s’étaient bientôt retrouvés en tête à tête involontaire avec le grand patron lui-même et sa femme ! Non seulement il fallait se farcir cette soirée soporifique, mais il fallait en plus faire bonne figure et alimenter la conversation ! Tout cela aurait pu prendre une tournure au moins des plus banales. Mais rapidement la curiosité du directeur leur parut étonnamment incongrue. Il semblait intéressé par leur petite vie insignifiante au delà de toute mesure. Les interrogeant pour savoir s’ils avaient des enfants, ce qui n’était pas le cas, quels plaisirs ils pouvaient avoir à travailler dans cette entreprise, ce qui les motivait le plus… C’était comme si, en les interrogeant ainsi, il ...
    ... prenait le pouls de l’ensemble des salariés. D’autres qu’eux auraient pu être flattés d’attirer une telle attention, mais pour eux ce n’était vraiment pas une sinécure ! Et Estelle se mit rapidement à regretter d’avoir respecté à la lettre la demande pour les employées de venir en tenue de soirée. Elle avait choisit sa robe la plus légère, pensant ne guère attirer l’attention. Maintenant, elle se trouvait là à captiver visiblement le regard de son chef, avec sa robe trop décolletée et, qui plus est, fendue le long de la cuisse, ce qui faisait qu’il était difficile pour elle de trouver une position où elle ne découvrait pas largement ses jambes. Il n’y avait pas même une table pour les séparer et elle avait l’impression, sous ces « yeux directeurs », de subir une inspection qui n’avait pas grand chose à voir avec celles fugitives que son patron faisait parfois dans son laboratoire… Rapidement elle attribua l’intérêt déplacé de son patron pour elle, à une consommation plutôt excessive d’alcool, mais son mari avait une toute autre idée à ce sujet. Il savait sa femme terriblement désirable dans cette robe de satin bleu nuit. D’autant plus que son épouse n’avait pas trouvé nécessaire, dans la chaleur de ce début d’été, de mettre de soutien-gorge. Il voyait bien le regard baladeur de ce patron sur le corps de sa femme ! Ce dernier avait largement dépassé la cinquantaine, mais il dégageait une imposante énergie et un charisme évident. Tout cela la mettait mal à l’aise. Mais ce qui est ...
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