L'invitation au château
Datte: 20/09/2020,
Catégories:
fh,
fhh,
fbi,
hplusag,
extracon,
cocus,
Collègues / Travail
fsoumise,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
sm,
piquepince,
... étrange c’est qu’il se sentait lui même observé d’une façon insistante par la propre épouse du directeur. Cette dernière était l’incarnation de tout ce qui peut faire la séduction d’une femme ayant dépassé la quarantaine, à l’éducation bourgeoise un peu coincée, mais qui avait un pouvoir de séduction d’autant plus troublant que les effluves de son parfum capiteux l’enveloppaient littéralement. Alors que sa propre femme était désormais troublée par l’attitude de son patron dans ce qu’il percevait désormais comme des avances, il était lui même déstabilisé par les regards de cette superbe créature qui, elle aussi désormais, lui posait des questions. Ces conversations croisées étaient tout ce qu’il y a de plus professionnelles, mais chacun devinait alors que le temps s’écoulant assez tard dans la soirée et qu’il était en train se passer quelque chose. Quand monsieur De Vigier, puisque c’est son nom, exprima son désir d’inviter le couple à venir passer chez eux le week-end suivant, il se produit quelque chose d’insolite. Estelle comme Loïc, au fil de l’intimité relative qui grandissait envers se couple, se mirent à craindre qu’il puisse y avoir une intention de prolonger cette conversation… et en même temps, de façon inavouée chacun reçut cette invitation avec un plaisir certain. C’est lui qui prit l’initiative après avoir croisé le regard de son épouse : — C’est très gentil à vous, mais nous ne voudrions pas vous déranger. Vous devez avoir bien d’autres occupations… Et puis, de ...
... façon surprenante ce fut notre future hôtesse qui prit la parole. — Justement pas ce week-end, nous avions des invités qui se sont désistés. Et puis mon mari et moi nous côtoyons toujours le même type de personnes souvent bien ennuyeux. Vous êtes tout sauf ennuyeux, et nous aimerions tellement mon mari et moi prendre le temps de faire plus ample connaissance. Derrière le désir naissant des deux employés, il y avait aussi comme une peur panique, mais quand bien même ils l’auraient voulu, ils ne pouvaient refuser ! ¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤ Ils se dirigeaient donc maintenant vers la demeure qu’ils savaient déjà somptueuse. Il n’avait pas échappé à Loïc que sa femme était nerveuse. Elle ne faisait que croiser et décroiser ses doigts coquettement parées d’un vernis grenat qu’elle avait acheté pour l’occasion. Ce n’était pas le cas de la robe. Elle avait décidé de porter la même que l’autre jour. Et comme l’autre jour, elle n’avait pas mis de soutien-gorge. Il ne lui avait pas posé de question à ce sujet, mais en voyant sa femme si sexy, parée des mêmes vêtements que ceux qui avaient attirés vivement l’attention de cet homme si puissant, il éprouva en même temps qu’une certaine fierté, un gêne et une pointe de jalousie… Le lourd portail de ce qui se révéla être un château du XIXe s’ouvrit bientôt. Quelques instants après, ils franchirent l’escalier d’accès et furent introduits dans un grand vestibule par un valet dont la carrure imposante ne put que les frapper. En repensant, aujourd’hui encore, ...