Un dimanche pas comme les autres - 1
Datte: 20/09/2020,
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Lesbienne
... plutôt. Fabienne se met une noix de savon sur elle et frotte ses seins. Le tableau est troublant, ses longs cheveux bruns étaient plaqués le long de son cou jusqu’au dos. Se mettant face à moi, elle me plaque contre le mur. Elle s’approche, se colle à moi. Sa bouche trouve mes lèvres, déjà sa langue danse dans ma bouche. Sa poitrine glisse contre mes seins, elle bouge de manière à masser mes seins. Je sens ses tétons durs très clairement, un fort désir sexuel revient en moi. Sa langue me plaît à s’enrouler dans ma bouche. Ce corps-à-corps m’excite. Je caresse ses reins, ses fesses. Sa peau est tellement douce. Mon sexe mouille de plus belle, je suis étonnée de voir mon corps réagir si vite. Sa main prend le chemin de mon sexe, directement, sans détour. Je l’imite. Je suis heureuse de toucher à nouveau son intimité, ça me plaît de la toucher, sentir sa touffe dans la paume de ma main, sa fente sous mes doigts. Béa s’approche de nous, elle veut sa part de caresses. Prenant ma main, m’embrassant à son tour, elle la plaque entre ses cuisses. Je me trouve là, plaquée contre le mur. Embrassée par l’une puis l’autre, des seins contre les miens, des doigts qui me fouillent et leurs féminités à chaque main. Je sais que je ne rêve pas, ces femmes sont bien là, leur désir coule sur mes doigts. Le plaisir monte une fois de plus, je les masturbe toutes les deux. Je peux même les comparer. Elles sont si différentes au toucher. Fabienne s’accroupit, je lâche à regret sa chatte, mais je ...
... sais où elle veut aller. Elle me lèche sans attendre, m’aspire délicatement. Mon clitoris est sensible voire un peu douloureux. Mélange de plaisir et d’une pointe de douleur. Béa s’agenouille à côté d’elle. Un baiser entre elles me donne un court répit. Béa prend la place de Fabienne et me lèche d’une autre façon. Je vais jouir encore sous cette langue. Plus rien ne peut stopper l’orgasme qui s’annonce. Le feu d’artifice démarre, je plane. Elles se redressent, se font face, s’embrassent pour partager mes parfums. Elles se masturbent, en couple, je les regarde et les trouvent belles toutes les deux. Leurs corps se connaissent parfaitement, leur complicité me saute aux yeux, j’envie cette osmose. Elles jouissent calmement, sereinement, longuement. La douche reprend de manière normale et les discussions sur tout et rien. Comme si rien ne venait de se passer. Mes cheveux sont mouillés, c’est la galère. Je passe dans la chambre prendre mes affaires, le petit réveil indique 17 h 30, je dois speeder. Elles me regardent m’habiller, emmitouflées dans leurs peignoirs siamois. Je passe ma robe en un éclair, je cherche mon slip qui doit se planquer quelque part dans les fringues par terre. Aussitôt trouvé aussitôt mis. Elles me regardent m’agiter, vite salle de bain, un coup de sèche-cheveux, un peu de maquillage. Mon reflet me semble différent, je me plais. Fabienne arrive avec mes chaussures à la main. Elles me raccompagnent dans l’entrée, Béa me demande si je veux rester en contact avec ...