1. Un dimanche pas comme les autres - 1


    Datte: 20/09/2020, Catégories: ff, fff, fbi, couplus, init, Lesbienne

    ... frotte sur moi, sur ma bouche, sur ma langue. Fabienne s’attarde longuement sur mon clitoris, le roule plus fortement, elle plonge parfois plusieurs doigts dans mon vagin, un délice, pour être franche. Mon sexe me fait tellement de bien qu’il me semble qu’un nouvel orgasme peut encore me surprendre. J’entends le souffle de Béa qui est le signe qu’elle aussi va jouir très bientôt. Pour moi c’est le grand décollage, Fabienne se concentre sur mon bouton, elle va de plus en plus vite. Je ne peux plus rien contre ce nouvel orgasme si puissant. La vulve de Béa posée sur ma bouche étouffe mes soupirs. Béa qui tient ma tête plaquée contre elle avec force se frotte sur ma bouche en ondulant le bassin à la recherche de sa jouissance qu’elle trouve contre ma bouche ouverte. Son orgasme est bruyant, je n’ose plus bouger. J’ai l’impression d’avoir la bouche pleine d’un savant mélange de salive et du plaisir de Béa. Je déglutis. Béa vient s’allonger à mes côtés. — C’était génial, Karine, tu sais. Tu es certaine ne jamais l’avoir fait ? me demande Béa.— Oui certaine ! Fabienne rigole, et déclare : — C’est vrai que tu caches bien ton jeu. Je regarde par la fenêtre, le ciel est toujours aussi gris, je ne sais pas trop l’heure qu’il peut être, je pense à mes enfants, mon homme, que peuvent-ils bien faire ? J’ai déjà l’impression d’être différente, d’être une nouvelle femme. Je suis bien, nue, sans complexe, deux femmes nues également à mes côtés. J’ai comme des battements de cœur dans le ...
    ... sexe, peut-être la faute à un trop plein de plaisir. Je leur dis : — C’est la première fois que je jouis autant de fois dans la même journée. Les filles se regardent en souriant. — Allez, à la douche les filles ! nous dit Fabienne. Elle se lève et se dirige vers la porte. Je regarde cette femme sortir, elle a une très belle silhouette, des fesses dessinées à merveille, je la trouve follement désirable. Je reste quelques minutes avec Béa, dans le lit, blottie contre elle. Elle me parle doucement de l’instant que je viens de vivre et espère qu’il m’en restera un bon souvenir. Elle se redresse, pose ses lèvres sur les miennes, me tire la main pour me faire bouger. Nous arrivons dans la salle de bain où l’eau coule déjà dans la douche. Salle de bain spacieuse, grande douche italienne, moderne, bien rangée. Béa entre dans la douche rejoindre Fabienne, je la suis. Fabienne se pousse du fond pour laisser sa place à son amie qui ne reste qu’une courte minute sous l’eau. C’est à mon tour, mais je ne veux pas mouiller mes cheveux, pensant déjà à mon retour chez moi. L’eau coule sur moi, je leur tourne le dos. Je ne sais pas qui a commencé, mais quatre mains pleines de savon s’activent sur mon dos, mes épaules. En tournant la tête, je vois leurs sourires qui en disent long. Mes fesses font l’objet de toute leur attention. Le savon donne encore plus de douceur à leurs gestes. Elles me retournent, je m’avance pour m’éloigner du point d’eau. Les mains me savonnent, non elles me caressent ...