1. Ophélie, de femme à femelle (14)


    Datte: 20/09/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    J’ouvre difficilement un œil, me demandant ou je suis, si je n’ai pas rêvé tout ce qui vient de se passer, mais les courbatures et la petite douleur au niveau de mes fesses me rappelle la vérité. J’essaie de faire le point, clignant des yeux. Ouf je suis dans ma chambre, il ne fait pas encore jour donc, tout va bien ! Je me retourne pour voir l’heure mais surprise, il y a quelqu’un dans mon lit. Je me redresse brusquement, martyrisant un peu plus mon cul sensible, pour voir qui est dans mon lit, dans la semi pénombre, je distingue que c’est mon Maître. Je suis soulagée, flattée d’avoir dormi avec lui, mais inquiète de ne pas savoir ce qu’il a en tête pour aujourd’hui. Le fait d’avoir bougée l’a réveillé, il tourne sa tête vers moi, dégage le drap qui le recouvre et me prend la tête pour l’attirer vers sa grosse et belle queue. Je me place à quatre pattes entre ses cuisses pour la prendre bien à fond, bien au chaud. Je jette un coup d’œil au réveil : 7h14 et déjà humide avec une queue dans ma bouche, plus de doute, je suis bel et bien une grosse chienne. Il m’imprime le rythme qu’il veut, il me baise la bouche, il décide de la vitesse, de la profondeur et si je me laissai aller, je jouirai sans même me toucher. Mais il ne m’en laisse pas le temps, il me pousse la tête pour me dégager de sa bite. - Un café et un grand verre de jus d’orange ma salope. Me dit-il. Pour toi, Pierre va te préparer ton petit déjeuner. - Bien Maître. Mais quelle docilité, je ne me reconnais à peine. ...
    ... En arrivant dans le salon, je vois mon deuxième invité assis sur le canapé, son gros sexe à la main en train de regarder son ordinateur. Surement un film de cul, tellement absorbé qu’il ne me remarque même pas. En cuisine, je mets la machine à café en chauffe, verse un jus d’orange frais et, me dirige vers Pierre, pour lui dire timidement bonjour et lui demander mon petit déjeuner. Sans même lever les yeux, il me demande d’aller chercher une petite assiette. Etonnée, je reviens avec ce qu’il m’a demandé et le lui tends. - A genou sale chienne ! Je lui obéis tout en baissant les yeux, pour ne pas croiser son regard plein de mépris. Il me prend l’assiette et tout en continuant de se branler, commence à dire des insultes, à la fois dirigées sur son écran et sur moi. Ne comprenant pas, je lève les yeux, et je vois ce qu’il regarde. Ça me glace le sang, c’est moi, hier soir, il a tout filmé, avec les deux jeunes noirs. Il se raidit, souffle plus fort et tout en tenant l’assiette commence à jouir. Le premier jet atterrit sur ma joue et le reste, il fait en sorte de le contenir dans le récipient. Il finit avec quelques gouttes, essorant sa bite en appuyant sur le gland et l’essuyant sur le bord de l’assiette puis me la tend. - Tiens, vas porter ça avec le petit déjeuner à ton maitre salope, dit-il en riant. C’est donc avec un café chaud, un jus d’orange froid et, une assiette pleine de sperme que j’entre dans ma chambre ou m’attends mon maitre, encore nue, déjà au téléphone. Il me ...
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