1. Ophélie, de femme à femelle (14)


    Datte: 20/09/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... prend le plateau, boit son café, son jus d’orange tout en parlant de contrat, d’embauche et, moi, j’attends docilement, à genoux au pied du lit attendant qu’il finisse. Lorsqu’il raccroche, il tapote sur le lit pour m’inviter à monter, comme sa chienne. Je me précipite à coté, à 4 pattes, admirant son corps, son sexe large même débandé, j’ai encore envie de le prendre dans ma bouche, boire sa semence, je m’en mords la lèvre inférieure d’envie. Il le voit car il me sourit mais, il n’a pas envie de me faire plaisir, il veut m’humilier, rabaisser sa chienne. - Tiens ton petit dej ma salope ! dit-il en mettant la petite assiette devant moi. Mon regard va de l’assiette au siens, le suppliant de ne pas me faire ça mais, je vois dans ces yeux aucun échappatoire. Alors doucement, je m’appuis sur mes coupes et je pose mes lèvres dans ce liquide froid, gélifié et amer. Avaler du sperme directement à la source est une chose, mais le boire comme si c’était de petit lait, c’est complétement humiliant, pire, dégradant. J’ai du mal à l’avaler, mais en levant les yeux vers mon maitre, je le vois sourire et commencer à bander, il ne m’en faut pas plus pour m’exciter, et pour passer outre mon dégout. Maintenant que je sais que je l’excite, je lape le sperme à grand coups de langue, faisant des bruits de succion pour tout ramasser. L’assiette propre, mon regard se porte sur le sexe de mon maître, elle me fait envie, je me lèche les lèvres, je ronronne d’envie. Lui toujours sur son portable ne ...
    ... fais même pas attention à moi, il écarte juste les jambes, pour me signifier son accord. Je me précipite entre et, c’est à quatre pattes, entre ses cuisses que je dévore sa queue, sans les mains, juste avec ma bouche. Pas de léchouilles, ce que mon maitre veux, c’est une pipe et, je m’applique à le contenter, faisant des vas et viens violents et profonds. Je me baise littéralement ma bouche, faisant cogner son gland au fond de ma gorge, bavant sur ses couilles, espérant qu’il m’attrape les cheveux pour me les tirer, pour qu’il me baise la bouche comme sa chienne, sa pute, sa salope qui suce à quelques pas de son époux. C’est donc à quatre pattes, le cul bien en l’air, la bouche emplie du sexe de mon maître que Pierre me découvre en entrant dans la chambre. Il y a quelques jours, je me serai précipité sous les draps pour me cacher, mais aujourd’hui, le sentant près de nous, m’excite encore plus. - Putain, elle en veut toujours cette chienne ! dit-il en me claquant les fesses. Je trémousse mon cul sous cette flatterie et cette fessée. - Arnaud, c’est bon, tout est prêt, on peut commencer. M’arrachant sa bite de ma bouche, Arnaud m’ordonne de mettre une culotte et un long t-shirt et de les suivre. Ainsi vêtue, je les suis mais, arrivée au salon mon sang se glace, je manque de m’évanouir en apercevant mon époux sur son fauteuil, un ordinateur sur les genoux regardant des photos. Mais c’est tout naturellement qu’Arnaud pris place dans le canapé en face de lui, et Pierre debout au ...