Marilou et les boules de Geisha...
Datte: 21/09/2020,
Catégories:
f,
fh,
Collègues / Travail
ascenseur,
volupté,
fsoumise,
pénétratio,
jeu,
init,
... qu’elle se remettait à bouger. C’était une expérience nouvelle jusqu’alors inconnue de Marilou. Diffus, sournois, sans cesse présent mais jamais abouti. Voilà, comment Marilou tente d’analyser les vagues de sensations qui traversent son bas ventre, au fur et à mesure de sa montée d’escalier. De temps en temps, sous prétexte de vérifier que tout le monde suit, elle s’arrête sur un palier, s’accoude à la rambarde d’acier, reprend son souffle. Instinctivement, elle serre ses cuisses et la contraction musculaire imprime immédiatement un mouvement aux deux boules logées de plus en plus étroitement dans son ventre. Cette sensation, ce mouvement est si fort, qu’elle à l’impression que les grimpeurs qui la dépassent alors, entendent les boules s’entrechoquer dans son intimité. Marilou, dont le cœur bat déjà très rapidement sous l’effort physique, a l’impression que ses battements s’accélèrent encore. D’ailleurs, maintenant, elle a l’impression qu’à chaque battement de son cœur, son clitoris tout raide et largement sorti de ses plis, se dresse contre le tissu de son slip et cogne à l’unisson. Dans un nouvel effort, avant de reprendre la montée des marches, elle tente de calmer sa respiration. — Alors, on cale ! S’exclame un de ses retraités à son passage.— Non, je vérifie que tout le monde soit en pleine forme, reprend Marilou, la voix blanche et sifflante.— Venez avec nous, ajoute un autre de ses papys, en lui tendant gentiment la main, vous verrez, on monte à notre rythme et on ...
... veut aller jusqu’en haut !— Alors, économisez votre souffle, lui répond la jeune guide en riant. Mais même le rire, un peu commercial qu’elle tente de déclencher, donne un effet de roulis aux boules inséraient dans son ventre et déclenche une vague de plaisir. Marilou, dans une nouvelle halte réparatrice durant laquelle elle essaye de calmer le feu qui commence à irradier tout son ventre, tourne son regard vers le haut. Il lui reste la moitié des marches à gravir, et à ce train là, elle a la très nette impression que non seulement elle ne pourra jamais y arriver mais qu’en plus, elle va jouir au milieu des escalier, là, devant des centaines de paires d’yeux. Marilou, un fois encore, s’accroche à la rambarde et tente, par son souffle, de calmer la monté de son plaisir et elle n’aspire qu’à deux choses : d’abord retirer ses sacrées boules de son sexe et ensuite trouver un coin tranquille pour pouvoir se caresser et soulager la tension de son clitoris qui maintenant lui fait mal. Après quelques secondes d’arrêt, elle reprend son ascension. Au fur et à mesure où elle avance ses jambes pour monter les marches, il lui semble que les boules ont enfin trouvé une place dans son sexe et qu’elles bougent de moins en moins. En tout cas elle ne ressent plus cet entrechoquement du début de matinée. Seules, les deux petites masses qui se trouvent enfermées dans les capsules, continuent librement à aller et venir, à tourner en rond et chaque fois qu’elle se cognent à la paroi de la capsule, le ...