Marilou et les boules de Geisha...
Datte: 21/09/2020,
Catégories:
f,
fh,
Collègues / Travail
ascenseur,
volupté,
fsoumise,
pénétratio,
jeu,
init,
Marilou repose le micro sur son support et se tourne vers Fred, le chauffeur de l’autobus pour lui faire signe d’ouvrir la porte. De dehors, une vague de chaleur étouffante envahit le véhicule et fait reculer les premiers touristes qui en descendent. Tout le monde suit la jeune femme brune, au parapluie vert, incongrûment levé au-dessus de la tête pour signaler la présence de son groupe et le dirige vers le pilier Nord de la Tour Eiffel. — Que ceux qui souhaitent réaliser l’ascension à pied se regroupent à mes côtés, pour ceux qui veulent emprunter l’ascenseur, qu’ils rejoignent Fred, notre chauffeur. Le ton de l’invitation est aimable et nombreux sont les hommes du groupe qui décident de jouer les sportifs et bien qu’ils soient tous à la retraite, se pressent rapidement aux côtés de leur avenante et accorte guide. — Bien, contemple Marilou, vous êtes prêts à monter plus de 480 marches ?— Oui, répond in chœur de mâles qui ne cesse de la détailler des yeux.— Alors en avant. Si jamais il y en a qui se sentent mal ou qui ont des difficultés, qu’ils prennent leur temps, on n’est pas pressé ce matin ! Et le groupe commence la grimpette, d’abord en suivant de près Marilou, puis au fur et à mesure des paliers, en s’étirant avec un enthousiasme fondant au fur et à mesure de la vertigineuse montée au premier étage de la Dame de Fer parisienne. Bien qu’habituée à cet exercice, Marilou, ce matin, peine aussi dans son ascension et à chaque marche, à chaque pas, elle découvre de ...
... nouvelles sensations dans son ventre dont elle ne sait pas encore si elles sont agréables ou gênantes. La veille, en rentrant de l’incontournable spectacle de strip-tease suivi d’une visite nocturne de Pigalle, un petit groupe de retraités n’avait nullement envi d’aller se coucher. Très sympathique mais quelquefois un peu lourds et collants selon les confidences de Marilou à Fred, ils les avaient invité à prendre un verre au bar de l’hôtel. Et comme le lendemain devait être leur dernier jour avant de rentrer dans leur province, ils avaient décidé d’offrir un souvenir de leur petit groupe à la charmante et délicieuse Marilou. C’est ainsi que sous les yeux gourmands de six papys et de Fred, Marilou avait du ouvrir, religieusement, un petit paquet, bien présenté, dans un emballage doré, entouré d’un ruban bleu. Jouant le jeu, Marilou avait tenté de deviner ce que le paquet cadeau recelait. Elle l’avait soupesé. Mais il était d’un poids relativement insignifiant. En le remuant près de son oreille, après s’être assuré auprès du groupe qui la fixait avec intensité et amusement, qu’il ne contenait rien de fragile, elle avait entendu une sorte de frottement, comme un objet roulant. Avec impatience, enfin, elle était arrivée au bout du nœud et arrachait maintenant le papier. Dans sa main, un étui en velours rouge frappé de signes chinois. L’étui n’était pas gros, il tenait dans le creux de sa main. — Alors, vous l’ouvrez ! s’exclame une voix.— Oui ! Ouvrez le vite, reprend le groupe.— Voilà ! ...