Marie ou la première fois
Datte: 22/09/2020,
Catégories:
ff,
fbi,
BDSM / Fétichisme
Oral
fdanus,
init,
québec,
initff,
Lesbienne
Pour moi, rien ne vaut une belle grosse queue qui remue au creux de mes reins. Je ne résiste pas à la sensation d’un solide mouvement de va-et-vient dans ma chatte ou mon anus, mais parfois, lorsque le célibat frappe un peu trop longtemps, il me prend l’envie terrible de lécher une petite chatte humide. La dernière femme conquise fut une expérience inoubliable. Règle générale, je prends mes « victimes » sur Internet. Je leur donne rendez-vous chez moi, un grand appartement situé juste en face de l’Université de Montréal. Il y avait plus de trois ans que j’étais sans copain officiel, et les rares baises masculines que je m’étais offertes avaient été minables. À l’aube d’une nouvelle année, je décidai que je voulais un amoureux. Après avoir créé un profil sur un site de rencontres reconnu, je me déclarai hétérosexuelle. Quelle surprise agréable ce fut quand je reçus un message d’une certaine Marie. Elle était en couple avec un mec, mais était tentée par une aventure au féminin. Elle était très claire dans ses intentions et cela me plut. Nous nous masturbâmes en ligne, via nos webcam et après, je n’eus qu’une envie, celle de la lécher et de la sucer pendant des heures. L’échange de vidéos pornos trouvées sur le net, de scénarios délurés, tout cela m’émoustillait quotidiennement. Je me masturbais toutes les nuits en pensant aux mille et une cochonneries que je lui ferais subir et qu’elle goûterait avec délice. N’y tenant plus, je lui fixai un rendez-vous qu’elle accepta, sans ...
... doute avec un peu d’anxiété. Mais je sentais également que Marie était ravie que sa première fois soit avec une fille d’expérience. Le fameux soir, je couvris ma poitrine généreuse d’un délicat soutien-gorge blanc en dentelle fine et un string de la même couleur, orné d’une grosse boucle. Je symbolisais ainsi la virginité de ma Marie. Vers 20 h, elle sonna chez moi et lorsque je lui ouvris la porte, elle resta sans voix. Je lus dans ses yeux une seconde d’hésitation, mêlée à une excitante admiration. Je lui souris, elle fit de même. Je tendis la main pour la faire entrer. — Veux-tu un peu de vin, Marie ?— Oui, souffla-t-elle.— Laisse-moi prendre ton manteau. Elle détacha la ceinture de son trench, je le lui fis glisser des épaules. Dessous, elle était vêtue d’une simple robe noire. Nous nous dirigeâmes vers la cuisine, où je lui servis un verre. Je pris le temps de bien me pencher, découvrant mon incroyable derrière à ses yeux gourmands. Je sus, à ce moment, à quel point nous aurions du plaisir ce soir-là. — Alors, comment procède-t-on ?— Es-tu pressée, fis-je, un brin coquine.— Non. Elle me regarda par-dessus son verre. Elle avait un regard incroyable. Je n’y tins plus et lui pris délicatement la coupe des mains, la déposai sur le comptoir et entraînai Marie vers la chambre. Elle voulut s’asseoir, je la retins. — Laisse-moi te déshabiller. Je la tournai, dos face à moi, et baissai sa fermeture éclair. Une peau bronzée, un corps mince et de magnifiques fesses, douces et lisses, ...