1. Marie ou la première fois


    Datte: 22/09/2020, Catégories: ff, fbi, BDSM / Fétichisme Oral fdanus, init, québec, initff, Lesbienne

    ... se dessinèrent sous mes yeux. Oh God ! Elle allait me faire jouir avant que j’aie commencé quoi que ce soit, pensai-je ! — Tu es magnifique, ma chérie, dis-je. Elle rigola. — Toi aussi, tu es très belle. Je la retournai et la remerciai de son compliment par un premier baiser. Elle ne se rebella pas. Elle était presque nue contre moi, sa lingerie en satin se frotta contre mes seins et ma chatte, qui s’humidifiait à une vitesse folle. Sa langue chercha la mienne, la massa avec une assurance peu commune. Mes mains, descendirent à ses seins, qu’elle avait pleins elle aussi. Les siennes n’étaient pas moins entreprenantes et s’acharnèrent à dégrafer ma prison de dentelle. En quelques secondes, mes seins furent exposés. Sa bouche se décolla de la mienne pour atterrir sur mon mamelon gauche, dressé. — J’adore tes seins, crus-je deviner pendant qu’elle l’embrassait avec avidité.— Viens sur le lit, dis-je. Nous grimpâmes sur le lit et je me couchai sur le dos. Je la laissai s’escrimer sur mes seins, avant de la laisser revenir à ma bouche. Ses mains glissèrent alors vers ma chatte, sous ma petite culotte. Elle me jeta un coup d’œil, sourire aux lèvres ; mon sexe entièrement inondé était le témoin de mon désir. Je me relevai sur les coudes, la regardai enlever ma culotte. — Tu veux y aller tout de suite ? demandai-je, en la voyant brièvement hésiter. Elle fronça les sourcils. Je lui souris et lui fis un signe encourageant, en lui ouvrant mes jambes. Ma chatte, ainsi exposée, la ...
    ... terrifia. Elle ne savait pas quoi faire. Bien, alors, ce serait mon tour. Je lui pris les mains, suçai les doigts qui s’étaient fourrés au creux de mon intimité, mes yeux verts plantés dans les siens. Marie était fascinée. Je tendis les mains, lui ôtai son soutien-gorge, mordis et léchai ses mamelons fièrement au garde-à-vous. J’invitai ensuite ma partenaire à se coucher sur le ventre. — Rien ne vaut un bon massage pour se relaxer. On a toute la nuit, je ne suis pas pressée, dis-je en montant à califourchon sur son dos. Je te montre comment faire, ma belle, ok ?— Oui. Je commençai donc par les épaules, lentement, et repoussai ses cheveux foncés sur le côté. Je plaquai de petits baisers sur ses omoplates. Elle frissonna de plaisir. Mes doigts trouvèrent la courbe de sa poitrine généreuse et s’attardèrent un moment. Puis je descendis vers ses adorables fesses, toujours couvertes par le string. Je mouillai mes lèvres, sortis la langue et embrassai ces douces collines. Mes index entortillèrent l’élastique du sous-vêtement et forcèrent ainsi Marie à soulever son bassin pour faire glisser la pièce de tissu. Nous étions à présent à armes égales, nues. Elle voulut se retourner, je l’en empêchai. — Que fais-tu ?— Fais-moi confiance. Je n’irai pas là où tu ne veux pas, Marie. Laisse-moi te montrer comment on fait.— Mais…— Tu as un cul magnifique. Laisse-moi en profiter un moment. Je t’ai dit sur Internet que c’est ce que je préférais, non ? Elle me regarda pendant un moment, puis se mit sur ...