1. Restauration Rapide


    Datte: 13/10/2017, Catégories: fh, inconnu, caférestau, Oral préservati, pénétratio, sf, tarifé,

    ... pourquoi ne pouvais-je pas lutter ? Cette femme était si magnifique… Mes pulsions les plus primaires refaisaient surface, quelles que soient mes résolutions et mon mode de vie. Je ne pouvais pas lutter. J’étais un homme, après tout. Un homme. Un être humain basique. Et cette pulsion était plus forte que tout. Elle se redressa un peu, de manière à mettre ses seins devant mon visage. Je me penchai et vins embrasser l’une des pointes. Ses mains se faufilèrent dans mes cheveux, me caressant la nuque. C’était délicieux. Ses pointes érigées avaient le goût du plaisir. Je passai ma langue dessus, les mordillai légèrement. Les yeux fermés, elle se laissait aller à savourer mes caresses. J’entendais Max gémir de plus belle, derrière moi. Mon cœur battait si fort que j’étais certain que tout le monde l’entendait. L’odeur de son corps m’enivrait. Une odeur musquée, fraîche, qui me donnait envie de la serrer contre moi, de passer mes mains sur tout son corps, de me fondre en elle, de devenir elle. — Hmm… Je me saisis de son autre sein, emprisonnant son mamelon entre mes doigts, passant et repassant ma langue dessus. Je glissai mes doigts dans sa bouche, et elle les suça, les mordilla. À présent totalement assise sur moi, je pouvais de mes mains gourmandes explorer et découvrir son corps, de la rondeur de ses seins, jusqu’à son dos, puis dans le creux de ses reins. Elle n’était que formes et féminité. Elle aussi me touchait, passait ses mains sur mon visage, mon cou et mon torse. ...
    ... J’étais vaincu. Je ne pouvais même plus prétendre passer pour un mec raisonnable. Mes hormones et mes instincts avaient balayé toutes mes convictions. Rien qu’une fois, après tout… Les mains de la jeune femme descendirent vers mon bas-ventre, et ce fut comme une décharge électrique qui me fit frissonner. Un soupir m’échappa sans que j’en aie conscience. Les doigts de Jennifer se mirent à défaire ma ceinture. L’hôtesse de Max poussa soudain un petit cri derrière moi. Je tournai un peu la tête. Il venait de la pénétrer, elle était à quatre pattes sur le divan. Il l’agrippa par les cheveux et la tira en arrière. Nouveau cri, mêlé de plaisir et de douleur. Je reportai mon attention sur la sublime blonde. Elle s’était agenouillée devant moi et dézippait ma braguette. Je pris une grande inspiration pour me calmer. Me lançant un regard brûlant, elle baissa mon pantalon, et se mit à me masser le sexe, qui tendait à mort le tissu de mon caleçon. « Elle a dû faire ça plein de fois, alors ne crois pas qu’elle en a vraiment envie, c’est du cinéma ses yeux de braise, pour faire revenir le client… » Elle passa sa langue sur ses lèvres et sortit mon pénis. Il n’était pas énorme, de quoi s’amuser, pas de quoi frimer. Pas vraiment long, un peu gros oui, mais bon… Elle avait dû en voir de bien plus imposants. De délicieux frissons me traversaient au contact de ses doigts. D’un geste lent, elle me manipulait lentement, de haut en bas, jusqu’à ce que je sois totalement raide. Je fermai les yeux, ...
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