1. Restauration Rapide


    Datte: 13/10/2017, Catégories: fh, inconnu, caférestau, Oral préservati, pénétratio, sf, tarifé,

    ... incapable de me retenir, ni de penser rationnellement désormais. — Oui, gémis-je.— Alors, fit la voix de Max derrière moi. Une main se posa brièvement sur mon épaule. — Qu’est-ce que j’t’avais parié, hein ? Je ne répondis pas, envahi par la douceur chaude de la langue de Jennifer, qui remontait de la base de ma verge jusqu’au sommet de mon gland. Un gémissement m’échappa. J’ouvris les yeux, la regardant passer sa langue autour de mon méat, m’arrachant des frissons délicieux presque insoutenables. Je passai la mienne sur mes lèvres, pour les humecter. Ma main se posa sur sa joue, lui caressa le visage, alors qu’elle salivait abondamment sur mon membre érigé, avant d’étaler la salive avec ses doigts. Enfin, elle se pencha et ouvrit la bouche en grand pour m’engloutir, avec une lenteur presque perverse. — Ahh… Je n’avais plus le contrôle de mon corps. Le plaisir dictait mes actes, mes pensées. L’image de Farida s’imposa devant mes yeux, mais je la chassai comme on chasse un moustique. Mes pensées n’étaient focalisées que sur une seule chose : le sexe. Mes idées semblaient m’avoir déserté. Et voilà, voilà que je cédais, il suffisait d’une partie de jambes en l’air avec une bombe pour me faire perdre la tête. Moi qui me pensais fort mentalement… La tête de la belle blonde montait et descendait doucement, lentement, ses lèvres glissant sur moi, sa langue coulissant sur mon gland, ses doigts palpant mes testicules gonflés. — Oh oui… Oui… Plusieurs cris aigus se firent entendre ...
    ... au bout de la pièce, mais je n’y fis pas attention. — Dans le cul, mets-la-moi dans le cul maintenant ! cria la serveuse de Max, derrière nous. Elle semblait surexcitée. Max poussa un gémissement rauque et j’entendis de violents coups de boutoir. Je n’en pouvais plus. Je sentais l’éjaculation monter en moi, aussi je pris la tête de ma partenaire dans mes mains, et la fis se redresser. Elle comprit le message et vint s’asseoir sur moi, mon sexe dur comme de la pierre butant contre le sien que je sentais humide et brûlant. Ses cuisses autour de ma taille, ses mains dans mes cheveux. Lèvres contre lèvres. Langues contre langues. Elle sentait bon. Elle sentait la femme. Elle sentait tout ce dont je m’étais privé depuis des années. Je la pressai contre moi, ne cessant de l’embrasser goulûment et avidement, suçant sa langue et léchant ses lèvres humides. Je la saisis par les hanches et me relevai. Elle noua ses jambes autour de ma taille et ses bras autour de mon cou pour ne pas tomber. Je l’embrassai, tout en me retournant, de manière à pouvoir l’allonger sur le divan en cuir. Je vis Max, occupé à se faire lécher les testicules par sa caissière. Il gémissait, les yeux clos, debout, tandis qu’elle était à ses pieds, sa langue allant et venant sur ses bourses gonflées. Je déposai Jennifer et mis genoux à terre. Comprenant mon intention, elle écarta les cuisses et me prit par la nuque pour m’attirer à elle. Je posai mes mains sur ses cuisses, remontant sa jupe, découvrant son sexe ...
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