1. Cache-cache (5)


    Datte: 24/09/2020, Catégories: fh, couplus, extracon, cadeau, cocu, inconnu, poilu, sale, douche, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Oral 69, pénétration,

    J’ai mis un certain temps après m’être dérobé pour qu’elle ne me voie pas, avant d’oser à nouveau franchir le pas de la porte de notre chambre… et de découvrir mon épouse encore toute habillée, allongée sur le dos, les mains sagement posées sur son ventre. Elle s’était endormie ! J’étais troublé de la voir plongée ainsi dans un sommeil si mérité après avoir à tel point agacé ses sens. J’avais l’impression d’être plus voyeur que tout à l’heure, car cette fois elle ne savait pas que j’étais en train de l’observer ! Son visage, plus beau que jamais, était l’expression même d’un bonheur apaisé. Je voyais ses paupières frémir et je l’imaginais plongée dans un doux songe qui prolongeait de façon bienfaisante les « plaisirs » de l’après-midi au parc. Les mouvements de sa respiration animaient délicieusement sa poitrine magnifique. Ses mamelons étaient d’évidence gonflés d’excitation, mais ce n’était pas le seul spectacle qui provoquait mon admiration et la montée de mon désir… Il y avait aussi sa peau nue, à la carnation subtile où se mêlaient une clarté naturelle et les traces d’un rosissement plus inattendu, dont j’étais le seul à connaître l’origine. Ce qui était le plus fascinant, c’était d’observer ces espaces indicibles à la lisière de ses vêtements, là où la chair semble se dévoiler comme par accident, alors que le moindre mouvement la dissimule à nouveau. Ainsi, à chaque élan de sa respiration, sa jupe glissait délicatement sur sa cuisse, et ce mouvement, quoique réel, ...
    ... était encore plus ténu sur le haut de sa poitrine. Le décolleté de son maillot, qui épousait par ailleurs merveilleusement ses formes, n’avait que cette si légère liberté de glisser sur quelques millimètres à la naissance de ses seins. Tout en l’observant, abandonnée et si belle, je me grisais de son odeur aimée qu’un soupçon de sueur pimentait légèrement… sans que je sache vraiment si c’était seulement l’effet de sa transpiration ou de celle mêlée de son adorateur. Et puis il y avait ce petit sourire si discret au coin de ses lèvres. J’y ai vu comme une invitation à y porter les miennes, en la frôlant à peine, car je ne voulais pas la priver de son juste sommeil. Elle a répondu à mon baiser du bout des lèvres, sa respiration s’accélérant un instant. Et quand j’ai vu son visage à nouveau s’apaiser, j’étais bien incapable de savoir si c’était à moi qu’allaient ses pensées apparemment si agréables. Ce soir-là, je me suis endormi auprès d’elle, après m’être caressé en la regardant. Le lendemain matin, nous avons fait l’amour avec une tendresse plus grande encore que ces derniers jours. Nous avions besoin l’un comme l’autre de beaucoup de douceur, peut-être aussi pour nous libérer de nos peurs, de l’audace qui s’était immiscée brutalement dans notre vie sexuelle. Et puis, nous avions envie de prendre tout notre temps. Nous ressentions que ces « aventures » ne pouvaient durer sans mettre notre couple en danger. D’autant plus que Sophie m’avait avoué qu’au moment où je la croyais la ...
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