1. Cache-cache (5)


    Datte: 24/09/2020, Catégories: fh, couplus, extracon, cadeau, cocu, inconnu, poilu, sale, douche, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Oral 69, pénétration,

    ... Curieusement, cette partie de son anatomie semblait plus « propre » que ce que son apparence générale aurait pu laisser deviner. La clarté de sa verge pathétique ne jurait pas au contact de celle des doigts si fins de ma Sophie… Pendant qu’elle commençait à lui prodiguer un lent et tendre massage, elle a porté sa bouche à ses lèvres et la profondeur évidente de son baiser m’a vite assuré qu’elle n’avait à son égard aucun signe de dégoût. Mais j’avoue que je fus encore plus bouleversé en voyant bientôt ma chérie pencher son visage vers le sexe gluant qui bandait mou et l’engloutir entre ses jolies lèvres ! D’où j’étais, j’avais du mal à supporter l’odeur écœurante de son amant mais cela ne l’a pas empêchée de le sucer durant de longues minutes tout en lui caressant l’entrejambe et les couilles. Lui, à genoux, fourrait ses ongles en deuil dans les cheveux de ma Sophie, et osait à peine encourager sa lente fellation par peur, sans doute, d’éjaculer trop vite. C’est certainement parce qu’elle s’en est rendu compte qu’elle a dégagé sa bouche. Ils se sont regardés dans les yeux quelques instants et elle lui a simplement susurré en se levant et en le prenant par la main : — Viens ! Il était gauche, démuni, comme un enfant émerveillé qu’on emmène au spectacle. Un spectacle auquel, cette fois, je ne pourrais pas assister : celui de ma femme se dénudant devant ce clochard émerveillé ! Le temps me parut alors interminable. Mais lorsque j’entendis le bruit de la douche, je sus que je ...
    ... pouvais m’avancer sans trop de risque pour espionner à nouveau ces amants si particuliers. Je me suis placé sous un angle d’où je pouvais tout voir, sans crainte d’être vu, en tout cas pas par lui. Il avait d’ailleurs bien d’autres raisons de ne pas remarquer ma présence ! Je les ai trouvés debout tous deux. Sophie s’était glissée derrière lui, ses seins au contact de son dos, lui offrant déjà une bien agréable caresse. Mais ma petite femme ne s’en tenait pas à ça. Elle parcourait son corps d’une de ses mains nues après l’avoir copieusement savonné, pendant que l’autre massait sa verge qui maintenant était fièrement bandée. L’eau souillée, grisâtre, s’écoulait le long de son corps avant d’être évacuée et l’on commençait à voir par intermittence des pans de sa peau, d’une clarté plus « naturelle ». Ainsi, peu à peu débarrassé de toute souillure, le corps d’Anthony, puisque c’est ainsi qu’elle l’appelait maintenant, paraissait même mieux charpenté que je ne l’avais cru. Il fermait les yeux, jouissant simplement de cette situation improbable, tel un sauvageon qui accepte de se civiliser en y percevant de bien évidents avantages. C’est elle qui a détourné son visage pour que ses lèvres à nouveau rejoignent les siennes, avant que sa langue impudique ne vienne le pénétrer. Une fois qu’elle a estimé la toilette terminée, Sophie a coupé le robinet et attrapé une serviette avant d’y envelopper son précieux captif. Il fallut que je me réintroduise dans mon antre ! Mais j’avais au moins ...
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