1. Une généreuse maman (10)


    Datte: 13/10/2017, Catégories: Inceste / Tabou

    Les jours suivants, maman s’est démenée comme une forcenée pour organiser l’anniversaire de mon père. Il allait avoir 51 ans, l’échéance approchait ; il arrivait à l’âge de se mettre au pastis comme il disait, stupidement enjoué par sa plaisanterie-cliché. Je ne comprenais pas pourquoi elle se donnait autant de mal pour lui faire plaisir alors qu’il ne le méritait pas, mais j’étais surtout contrarié de ne plus pouvoir la baiser. Elle n’avait plus une minute à elle, elle me négligeait ; elle faisait comme si elle m’avait abandonné… Le jour venu il faisait beau, pas très chaud ; c’était la soirée idéale pour que l’évènement se déroule dans les meilleures conditions. Il y avait du monde – la majorité des invités étaient des collègues de travail de papa - et surtout beaucoup d’alcool. J’ai très vite compris qu’il s’agissait d’une réunion de « vieux » qui s’imaginent qu’ils sont encore capables de s’amuser comme des jeunes, et qui font tout pour s’en persuader. Pour faire plaisir à mon père - après tout, c’était son anniversaire – ma mère s’était habillée d’une façon que ma grand-mère avait jugée provocante ; elle s’était renfrognée, indignée par cette indécence revendiquée. Il faut dire que maman avait mis le paquet ; elle portait une de ses petites robes qu’elle me réservait dans l’intimité. Moulante, elle ne lui couvrait que le haut des cuisses, ce qui permettait à qui le voulait d’admirer ses longues jambes nues et bronzées. Ouverte à l’encolure, laissant les épaules nues, ...
    ... striée de lanières de tissu découpées à intervalles réguliers dans le dos et sur les manches. Le décolleté, prononcé, fermé par un lacet, exhibait en partie sapoitrine dénudée. Papa adorait que lecorps de sa femme agisse comme un aimant sur les mâles présents. Je me souvenais du soir où, chez ses parents, elle était sortie de la piscine toute mouillée, avec ses habits qui lui collaient à la peau en épousant ses formes au plus près. Depuis qu’ils étaient mariés, il savait tirer profit du pouvoir de séduction que maman exerçait sur son entourage ; il s’en servait à volonté pour mieux régner. Il s’imaginait sans doute qu’elle s’exhibait encore pour son bon plaisir, qu’elle paradait telle une friandise sexuelle pour émoustiller ses amis, selon l’accord tacite qui existait entre eux, et qu’il conservait l’avantage à l’arrivée, qu’il était le maitre du jeu. Comment aurait-il pu se douter qu’elle ne le faisait plus pour lui, mais pour moi ? L’arme chargée qu’il avait entre les mains et qu’il dégainait à la demande s’était brusquement enrayée… De son côté, maman était aux petits soins avec moi. Elle me souriait à tout bout de champ, me cherchait des yeux quand elle me perdait de vue, semblait rassurée quand elle me voyait, comme si j’étais le seul qui trouvait grâce à ses yeux. Elle me donnait l’impression de m’avoir rabroué pour mieux me faire comprendre, le moment venu, que j’étais le seul qui comptait ; moi, le fils non désiré de cet homme qui me considérait comme un fardeau et qui ...
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