Une généreuse maman (10)
Datte: 13/10/2017,
Catégories:
Inceste / Tabou
... m’avait toujours sous-estimé. C’était un retour de bâton inespéré, un caprice du destin, une cruauté du karma, et je l’aimais et la désirais d’autant plus. Quoi qu’il en soit, maman ne laissait rien paraître dutrouble qui nous unissait. Elle se comportait en parfaitemaitresse de maison, épouse modèle amoureuse de son mari. Elle était digne, un peu hautaine, mais à l’écoute des amis bourrés de son époux qui la convoitaient de plus en plus ouvertement. La facilité avec laquelle elle les évinçait, se dérobait à leurs attentes m’impressionnait ; elle jouait avec eux aussi bien qu’avec moi… La fête battait son plein. Papa et ses amis picolaient sec, riaient fort, se donnaient en spectacle ; ils perdaient de leur superbe verre après verre. Le temps n’était pas leur allié. A un moment donné, quelqu’un a mis « Someone like you », la chanson d’Adèle que nous mettions souvent en toile de fond quand nous faisions tendrement l’amour avec maman. Ce fut comme un signal ; sortie de nulle part, elle s’est jetée sur moi et a passé ses bras autour de mon cou. Elle a posé la tête sur mon épaule et nous avons commencé à danser sans nous soucier des autres. J’ai posé mes mains sur ses reins, incrusté mon bas-ventre au sien, j’étais bien. J’étais un peu saoul mais je me suis contrôlé. J’avaisenvie de la toucher, mais les gens nous regardaient ; j’avais l’impression que même mon père nous surveillait. Je l’ai entrainée à l’écart, et nous nous sommes éloignés petit à petit. Une fois à l’abri des ...
... regards, j’ai jeté mes mains sous sa robe, comme un mort de faim. J’ai attrapé son cul, et je lui ai malaxé les fesses si fort qu’elle a eu peur que je lui fasse des marques. tfvteecm — Mais enfin Victor, tu me fais mal bon-sang ! Qu’est-ce qui te prend ? Arrête ça tout de suite ! — J’ai trop envie maman… Laisse-toi faire, j’en peux plus ! — Mais tu es fou ou quoi ? Allez ! Sois raisonnable s’il te plait… quelqu’un pourrait venir… Tu pourras me faire tout ce que tu veux… après… quand ils seront partis… mais laisse-moi retourner avec eux mon chéri, je t’en supplie ! Elle haletait, se débattait affolée, je voyais qu’elle paniquait. J’étais ivre de désir. Je n’avais jamais eu autant envie de la baiser qu’à ce moment, mais elle avait pourtant raison ; ce n’était pas raisonnable, alors je l’ai laissée et elle s’est échappée presqu’en courant… Après cet incident je n’ai plus fait de vagues, et les gens ont commencé à partir en file régulière les uns après les autres. Les derniers fidèles amis de mon père l’ont convaincu de sortir boire un verre en ville, et il a fait comme s’il avait besoin de l’autorisation de sa femme pour s’absenter du domicile conjugal. Elle lui a donné la permission avec un rictus qui n’avait plus rien d’élégant, et ils sont partis en la remerciant. Les derniers invités se sont regroupés à une table pour boire un dernier verre eux aussi, et maman les a rejoints contrainte et forcée. Je me suis servi une coupe, me suis installé un peu à l’écart, et je les ai ...