Chantage à Cindy, ma "demi-soeur".
Datte: 28/09/2020,
Catégories:
Inceste / Tabou
Une vague de chaleur avait envahi notre ville, le thermomètre affichait trente-cinq degrés alors qu’on était à peine début mai !Je n’étais pas revenu à la maison depuis le Nouvel An, j’avais horreur d’être ici à présent. Comment en suis-je arrivé à détester ma maison ? Ça a commencé il y a deux ans, avec le divorce de mes parents. Ma mère avait quitté notre famille pour s’installer dans le sud avec un mec qui avait à peine dix ans de plus que moi. Mon père avait fini par trouver une femme charmante, agréable, tant mentalement que physiquement. Catherine était la femme parfaite pour mon père. Il y avait pourtant un inconvénient, elle avait une fille de mon âge, Cindy.Cindy était une peste, nous avions toujours fréquenté les mêmes écoles, de la maternelle au lycée. Dans chacune d’elles, elle se faisait un malin plaisir de me maltraiter. Quand mon père m’a annoncé leur emménagement, c’en était trop pour moi ! Dès que j’ai pu, j’ai pris une chambre près de l’université.Cindy, une petite maigrichonne d’un mètre soixante. Elle s’était mise au sport depuis quelque temps, beaucoup de squat vu la rondeur et la fermeté de son cul. Elle avait déjà une réputation de fille facile au lycée, alors maintenant, je vous laisse imaginer…Pourquoi je vous parle d’elle ? Parce que je me retrouve allongé sur mon lit, en boxer, sous cette chaleur insoutenable, et malgré la haine que je ressens pour Cindy, je suis en érection.Je ne m’attendais pas à ça lorsque mon téléphone vibra. En le ...
... déverrouillant, la photo d’une fille nue s’afficha. Elle était allongée sur un lit, sa peau claire semblait humide, ses longs cheveux blonds descendaient vers sa petite poitrine. Elle tenait son téléphone d’une main tandis que l’autre écartait légèrement les lèvres de son vagin impeccablement lisse.J’entendis un cri, d’horreur ou de désespoir, parcourir toute la maison. Ta gueule, Cindy ! pensais-je alors. Retournant à la photo, je vis le nom de l’expéditrice, Cindy…***La porte de ma chambre s’ouvrit violemment, la petite blonde portait un long peignoir gris.« Donne-moi ton téléphone ! hurla-t-elle. Je vais te tuer sinon ! »Je restai là sans rien dire, légèrement redressé sur mes coudes afin de pouvoir admirer toute la colère dans son regard, et cette rougeur sur ses joues ! Je prenais beaucoup de plaisir à la voir s’agiter devant moi et hurler ainsi.« C’est dommage de t’être rhabillé. Pour une fois que je voyais quelque chose d’intéressant chez toi ! »Elle se jeta sur moi et tenta de prendre le portable. Manque de chance pour elle, mes bras étaient plus longs que les siens, le téléphone restait hors de sa portée. À force de chahuter ainsi, la ceinture de son peignoir se défit, ce qui nous figea tous deux.Je me tenais allongé sur mon lit, elle était assise sur mon bassin, sa douce petite chatte plaquée contre mon sexe en érection tandis que ses seins étaient à quelques centimètres à peine de mon visage.La température avait soudainement grimpé dans la pièce.Nous restâmes ainsi pendant ...