Chantage à Cindy, ma "demi-soeur". - Histoires de Sexe

Chantage à Cindy, ma "demi-soeur".

... mensonge, mais je commençai à en avoir marre de négocier, et j’avais surtout une immense envie de jouir…« Marché conclut. »***Je libérai ses mains et m’allongeai sur le dos. J’utilisai quelques oreillers pour me redresser, je ne voulais pas manquer le spectacle.Elle défit son peignoir et le jeta par terre. Je mourrais d’envie d’att****r ses petits seins, de les malaxer, les lécher, mordiller ses petits tétons rendus raid par l’excitation qu’elle souhaitait dissimuler.Elle se plaça entre mes jambes. Je fis glisser mon boxer, elle eut un mouvement de recul en voyant mon sexe dressé. Vingt centimètres qui n’attendaient que la douceur de ses lèvres.« Waoh, lâcha-t-elle instinctivement.— Ravi qu’elle te plaise. »Sa main tremblota en approchant mon sexe. Je ressentis une petite décharge électrique me parcourir quand elle la saisie enfin. Elle commença par de lents mouvements de poignet, puis me relâcha afin de saliver dans sa main avant de reprendre le mouvement un peu plus énergétiquement.Sa main était douce et chaude, elle me procurait une caresse agréable, de longs va-et-vient qui me faisaient frémir d’excitation. Elle approcha enfin son visage de mon sexe. Je pus voir dans le miroir accroché au mur son cul redressé, sa petite chatte ouverte et dégoulinante de mouille. Ce délice que j’aurais aimé goûter aujourd’hui. La prochaine fois, pensais-je.« Tu me préviens avant de jouir, sinon je te l’arrache !— D’accord. »Je caressai sa joue de ma main, elle détourna la tête et baissa ...

... les yeux, honteuse de ce qu’elle allait faire… D’un geste fluide, je mis les quelques cheveux qui tombaient devant son visage derrière son oreille. Je l’entendis soupirer légèrement. Elle en avait envie, le nier aurait été un mensonge.***Je sentis enfin sa langue contre mon gland. Le contact fut bref, mais je ne pus retenir un gémissement. Je me souvins de sa manière de goûter sa cuisine, son petit bout de langue qui effleurait furtivement les aliments pour ne pas se bruler... Elle me goûtait ainsi une petite dizaine de fois, sur le gland, le long de ma verge, mes couilles lisses. Les petits bruits qu’elle faisait étaient divins, je prenais plaisir à entendre ses petits clapotements de langue, ses déglutitions. Elle se décida enfin à passer aux choses sérieuses. Elle remonta vers mon gland, léchant et salivant tout le long de mon sexe. Enfin, ses douces lèvres se refermèrent sur mon gland.Sa bouche était agréable, fraiche et douce, sa petite langue parcourait mon gland, je me sentais comme enroulé dans le plus confortable des tissus. Elle enfonça ma bite en elle un peu plus profondément, sa tête se mouvait lentement de haut en bas dans un premier temps. Je l’entendais par moment avaler le surplus de salive qu’elle produisait, sa main droite caressait lentement mes couilles. Je ne savais pas ce qu’elle faisait de la main gauche jusqu’à ce que je pose de nouveau mon regard sur le miroir. Deux de ses doigts avaient disparu entre ses lèvres.Elle voulut s’enfoncer plus encore, mais ...