1. An Daofin Meur (5)


    Datte: 28/09/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... geindre en maintenant le visage de son fils des deux mains. Son plaisir était immense et son envie de commettre l’irréparable péché n’avait jamais été aussi forte. Elle l’attira vers elle, Yann embrassa sa poitrine, ses tétons, sa gorge et sa bouche, et elle sentit son gland écarter la corole et s’enfoncer dans sa matrice trempée. — Oooooh… Oh oui, mon bébé… Viens… Viens baiser Maman… Aaaah… — Aaah ! Maman ?! Je… Je suis en toi, Maman ! — Mmm… Oui… Aaah… Doucement, Chéri… Aaaah… Oui… Oh oui ! Yann fit des efforts pour se calmer mais son excitation était trop forte et il éjacula rapidement. Maryvonne l’embrassa avec tendresse, lui sourit en caressant ses cheveux roux et le réconforta. — Ce n’est pas grave, Chaton, je pense que c’est normal quand on fait l’amour pour la première fois avec sa Maman. En plus tu es fatigué et tu étais très tendu. Tu vas dormir un peu, récupérer les heures de sommeil qui t’on manqué et plus tard, ça ira mieux, tu verras. — Je… J’espère, j’avais tellement envie de te faire jouir. — Tu m’as donné beaucoup de plaisir, mon Cœur, et là, tu vas dormir deux bonnes heures, ça te fera du bien… Tu voudras que je vienne te réveiller ? — Oui, je veux bien… Maryvonne abandonna son fils qui se laissait déjà emporter dans les bras de Morphée et rejoignit Loïc sur le pont. Le bateau gitait et semblait avancer à une allure convenable. — Le vent s’est relevé et ça te met en joie, mon Amour. Constata-t-elle en venant l’embrasser. — Oui, et j’ai changé de stratégie, ...
    ... aussi ; j’en profite pour essayer de nous éloigner un peu de la zone de hautes pressions. On tirera un bord pour rejoindre les Bermudes. Mais ce n’est pas ce qui me rend le plus heureux des hommes… — Ah bon, donc j’en conclu que tu es le plus heureux des hommes, ça me fait plaisir. Tu me racontes ? — Oh, et bien c’est simple, j’ai dû aller sur l’avant pour arranger un truc et je suis passé près du hublot de notre cabine, alors j’ai regardé un peu ce qu’il s’y passait. — Et tu as vu quoi ? — J’y ai vu ma femme se tordre de plaisir en se faisant lécher la moule par un jeune homme et l’embrasser ensuite en se faisant pénétrer. De quoi me mettre en forme pour la journée, mais je ne pensais pas te voir monter aussi vite sur le pont. — Le pauvre Chéri, il était très tendu et très fatigué ; il est parti beaucoup plus vite qu’il ne l’aurait souhaité. Là, il dort et j’irais le réveiller dans deux heures. — Alors je serais deux fois cocu ce matin. — Plus que ça ; tu oublies Enora… Je vais faire du café. Maryvonne était un peu étonnée par la remarque de son mari, l’emploi du mot cocu était chargé de sens. Il l’avait toujours été, pas parce qu’elle se sentait nymphomane ou quelque chose comme ça, mais parce qu’elle n’avait pas souvent su dire non. Loïc avait été cocu au moins une fois par semaine depuis leur première rencontre. Même lors de leur mariage, son beau-père, dans un moment d’égarement avait profité de cette faiblesse. Elle avait dû faire tous les efforts du monde pour que ça ne ...