An Daofin Meur (5)
Datte: 28/09/2020,
Catégories:
Inceste / Tabou
... amie, Nolwenn est la meilleure amie d’Enora et Yves est presque comme un frère pour moi. — Je sais, c’est pour ça que ça ne pouvait pas continuer… — En tout cas, grâce à lui, tu as une jolie chatte toute lisse et, maintenant, quand je la lècherai, je vous imaginerai dans un lit. Il y a d’autres personnes proches qui ont couché avec toi dans mon dos ? — Ça a l’air de t’exciter… Non, il y a des gens que tu connais et qu’on voit parfois à l’occasion d’une soirée mais dans les amis proches, c’est tout. Après, mais il y a prescription parce que ça fait 22 ans, il y a eu ton père qui m’a prise dans un placard à balais durant le fête de notre mariage. — Mon père ? T’as couché avec mon père le jour de notre mariage ? Là, excuse-moi, Mary, mais t’es vraiment une salope et, moi, je suis le roi des cocus. Ah le salop, baiser sa belle-fille le soir des noces… Vous avez recommencé souvent après ? — Jamais. Je te le promets. Lui, il en avait envie, mais j’ai toujours refusé et, pendant quatre ans, il a insisté. Il a fallu que je le menace d’aller raconter toute l’histoire à ta mère pour qu’il se calme. — Tant mieux, Yves, je peux comprendre, mais Papa… C’est quand même un beau salop. Mais bon, c’est loin derrière, maintenant, et je suis content. J’espère que Yann sera bien reposé tout à l’heure. Mmm… Rien que de repenser à ce que j’ai vu, ça me fait bander. Cocu… être cocu avec mon fils, ma fille, tous les jours et sous mon nez… — Tu devrais retirer ton short, Chéri, tu serais plus à ...
... l’aise. Je vais te soulager un peu. Enora se leva avec une petite faim et une belle envie de pisser. Elle passa devant la cabine de son frère et, comme la porte était ouverte, elle constata qu’elle était vide. Elle trouva du café dans la cuisine et monta sur le pont où elle découvrit sa mère en train de masturber son père en lui susurrant des choses à l’oreille. — Oh ! Excusez moi, fit elle en restant figée sur place. — Oh, Ma Chérie, répondit Maryvonne en rougissant. C’est plutôt à nous de nous excuser. Viens avec nous, j’arrête. — Je remets mon short ! Dit en même temps Loïc sans savoir où se trouvait son vêtement. Tu l’as mis où, Mary, quand tu me l’as enlevé ? — Je n’en sais rien ; je l’ai envoyé par là. Enora explosa de rire en voyant le geste de sa mère et s’approcha pour embrasser ses parents. — T’as dû l’envoyer à la baille, Maman. Mon pauvre Papa, tu vas devoir garder ta jolie bite à l’air… — C’est vrai que ton Papa a une très jolie bite et ça a toujours été ma préférée, reconnut Maryvonne en la reprenant en main. Mais celle de ton frère n’est pas mal non plus… — Tu l’as déjà testée ? C’est pour ça qu’il n’est ni dans sa cabine ni avec vous. — Ton frère dort sur notre couchette, précisa Loïc en arrêtant les mouvements de poignet de sa femme. Il était épuisé apparemment. Enora avait bien du mal à décrocher ses yeux du sexe de son père, elle n’avait encore jamais vu une bite aussi raide, épaisse et verticale. — Papa ? Maman ? Je… Je peux la toucher ? Elle a l’air tellement ...