1. Bécassine (3)


    Datte: 30/09/2020, Catégories: Hétéro

    ... mec qui te suce. — Je croyais que tu voulais être fidèle à ton vendeur de fringues… Mais quel con je fais ! Elle me dit qu’elle veut me sucer, et moi je trouve le moyen de lui rappeler qu’elle est censée être fidèle. Bon sang ! J’ai loupé une occasion de me taire. — Mais rappelle-toi : tu es gay ! Je ne peux pas le tromper avec un gay. C’est juste un entraînement. Et puis, c’est pour lui que je fais ça. Alors, tu veux bien ? — OK, c’est d’accord, fais-je en retenant un sourire ravi. Je me sacrifie encore une fois pour la bonne cause. — Merci, tu es un amour ! me dit-elle en déposant un petit bisou sur ma joue. Elle s’agenouille devant moi, le regard pétillant. J’ai une magnifique vue sur son décolleté plongeant. Je peine à croire ce qu’il se passe. Elle a dit qu’elle voulait me sucer ! Finalement, cette journée n’est pas si horrible que ça… Bécassine passe un coup de langue sur ses lèvres et sa main remonte le long de ma cuisse. Elle atteint mon entrejambe où ma queue est déjà incroyablement dure. Elle s’arrête et me regarde, soupçonneuse. — Pour un gay qui va se faire sucer par une femme, tu bandes vite, je trouve ! — C’est que je fantasme rapidement, trouvé-je comme excuse. Elle ne semble pas convaincue. — Oui, je repense à une… un ex, je veux dire… au cinéma… cherché-je à développer. Ça avait été très chaud… Ça me fait toujours effet rapidement quand j’y repense. — D’accord, sourit-elle. szfsqqhd Ouf ! J’ai encore une fois échappé à la catastrophe. Bécassine reprend ses ...
    ... investigations et libère mon sexe. Enfin ! Enfin elle va me faire du bien ! Enfin un fantasme qui se réalise. Je n’y croyais plus, à force. Sa bouche plonge sur ma tige et moi dans un océan de délices. Une chose est sûre : c’est qu’elle sait y faire. Elle n’a absolument pas besoin d’entraînement. Je n’ai jamais été aussi bien sucé de toute ma vie. — Ça fait combien de temps que tu n’as pas pratiqué ? lui demandé-je, curieux. — Quatre ou cinq mois, je ne sais plus. Une éternité, quoi. — Ah oui… Nous n’avons pas la même définition du mot "éternité". Peu importe, tant que j’en profite… Et j’en profite, les yeux hypnotisés par cette vision de rêve : sa bouche qui coulisse le long de mon sexe, ses seins dodus qui s’agitent doucement dans son décolleté, et ses magnifiques yeux verts qui me fixent pour surveiller la moindre de mes réactions. D’ailleurs, je fais tout mon possible pour cacher au mieux le plaisir qu’elle me procure, mais c’est compliqué avec cette douce langue qui danse sur mon gland ! Il ne faudrait pas qu’elle comprenne que je suis hétéro en voyant que je prends bien trop de plaisir. Mais elle s’arrête d’un coup avec un regard méfiant. — Attends ! Je repense à ça : ce week-end en boîte, quand on dansait, tu n’avais pas la trique par hasard ? Merde ! Pourquoi elle s’en souvient maintenant ? Commence-t-elle à comprendre que je ne suis pas gay ? J’espérais qu’elle oublierait ce détail, comme elle était ivre. — Euh… non, tenté-je, sans grand espoir. — Tu es sûr ? Bon, j’ai ...
«12...5678»