1. Dépossession - 4


    Datte: 30/09/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Un mois et demi que j’étais devenu encagé, et deux semaines que n’étais officiellement plus un homme mais Docile, et que tous les jours, ou presque, Maitresse passait me voir dans l’appartement qui lui appartenait désormais pour que je lui procure un peu de plaisir avec ma bouche. Quelques semaines que je n’avais ouvert la bouche que pour lécher sa vulve. Je lui envoyais une photo de moi toutes les heures, y compris pendant la nuit, au point que je perdais au fur et à mesure la notion du temps et de sommeil profond. J’étais à présent plongé dans un état second en permanence. J’étais en train de préparer une salade végétarienne pour ma Maitresse – je devenais très bon en cuisine, puisqu’il s’agissait d’un des seuls passe-temps que je pouvais m’autoriser - quand j’entendis le cliquetis des clés contre la serrure. Je ne me retournai pas, un meuble ne se retourne pas quand sa propriétaire entre mais seulement quand elle s’adresse à lui. A ma grande surprise, j’entendis un voix d’homme, plutôt grave : - Ha ouais, pour de vrai en fait ! C’est vraiment bizarre ! Je vous le rappelle, toute cette histoire avait commencé parce que mon voisin était revenu bourré de soirée et m’avait obligé à le sucer. Ce voisin habitait à quelques mètres, voire centimètre de moi (nous partagions un mur), mais je n’avais beaucoup eu l’occasion de le croiser dans les couloirs, parce que je ne sortais quasiment plus, à part pour faire les courses pour ma maitresse. Il s’agissait bien de lui, aux côtés ...
    ... de Maîtresse. Elle portait comme d’habitude les clés de ma cage autour du cou, cou accompagné d’un large décolleté qui faisait entrevoir le début de sa poitrine. Elle gagnait en assurance de jour en jour. - Docile, je te présente Adem, il s’agit du voisin de l’homme que tu étais avant tu n’acceptes de devenir mon esclave. Je crois que tu le connais déjà un peu. WAOW, ça commençait fort ! Je ne pensais pas me retrouver dans cette situation un jour. Alors que mon sexe était en feu de manière continue depuis des semaines, je ne l’ai jamais senti aussi à l’étroit dans sa cage. Alors j’acquiesçais en me mettant à genoux, les yeux par terre. - Docile, continua Maitresse, lève les yeux vers nous. Soit fier. Je trouvais la force intérieur de relever la tête et de les regarder tous les deux, habillés et avec un demi-sourire sur le visage. Adem avait l’expression de l’homme dominant sur le visage, une grosse bosse déformait son pantalon. - Très bien, tu vas nous servir à manger pendant que nous faisons notre travail pour la fac, tu as compris ? Elle n’attendait plus que j’acquiesce quoi que ce soit (je ne parlais maintenant que très rarement), et s’installa sur le canapé avec Adem, sortant ses feuilles de classeur. Elle commença à lui parler de son cours de psychologie, de manière tout à fait naturelle : je n’existais pas en tant que personne dans cette pièce. Lui, écoutait, répondait naturellement – il semblait très bien connaître le sujet lui aussi - me lançant de temps à autre des ...
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