Dépossession - 4
Datte: 30/09/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... regards pervers. Il prenait son pied dans cette situation. Je leur servi à manger, m’installa dans un coin de la pièce, en attendant qu’ils terminent. C’est Adem qui brisa la situation actuelle et m’humilia encore plus. - Tiens Céline, comme ça, Docile pourrait se mettre juste à nos pieds ? J’ai besoin de quelqu’un pour me tenir mon coca. Maitresse le regarda ravis, je pense que c’est ce qu’elle attendait de lui. En s’adressant à moi, elle me lâcha : - Lorsque Adem demande quelque chose tu exécutes, tu as compris ? Sans me faire prier, je me déplaçais à ses pieds, le regarda dans les yeux, ce qui était très humiliant. De mon point de vue il semblait magistralement grand. Il faut dire que je ne m’étais pas tenu debout face à quelqu’un depuis des semaines. Il me donna son verre de coca, que je tins pendant un certain moment, alors qu’ils reprenaient leur conversation. Il passa son bras, par réflexe, derrière le canapé, en direction de Maitresse. Il prenait une position de dragueur, sûr de lui. Maitresse jouait, s’amusait de cette situation. Elle le contrôlait aussi, finalement. Alors qu’il parlait d’un sujet qui m’était inaccessible intellectuellement (c’est ce que j’avais fini par me dire, même si ce n’était pas vrai), elle passa sa main sur sa bosse entre les jambes. Elle sourit, il lui rendit son sourire et lui passa ses doigts dans les cheveux. J’observais la situation du sol, mon verre dans la main, le bras toujours tendu. Elle déboutonna son pantalon, se colla à lui, en ...
... fermant les yeux. Il l’aida à baisser son caleçon. Sa verge était de taille tout à fait raisonnable, un peu large. Très poilue, elle était à quelques centimètres de moi, toujours à genoux. Maitresse s’amusa à caresser le torse d’Adem avant d’entourer sa verge de sa main dans un geste langoureux : je savais comment elle procédait, j’avais été à sa place il y a quelques semaines encore. Ils s’étaient tu, la main de Maitresse passait le long de la verge de cet homme. Je ne pouvais pas me sentir plus soumis à cet instant. Je regardais, contemplatif et docile, celle qui fut ma copine, branler mon violeur. Il luit prit tendrement les seins, les faisant sortir de sa tunique. Ils s’embrassèrent. - Docile, m’ordonna-t-elle, branle-le un peu veux-tu ? Sa main quitta la verge de son amant, et elle entreprit d’enlever son pantalon, puis sa culotte. De mon côté, j’avais en plan rapproché le chibre que j’avais avalé il y a deux mois. De nouveau, je devrais l’avaler. Je suis parfaitement conscient que c’est fou, mais j’attendais ce moment depuis que je l’avais vu entrer dans la pièce. Je me rapprochais de lui, il écarta les jambes, je pris sa verge entre mes mains. - C’est bien salope, c’est la seule chose que tu sais faire, me cracha-t-il. Ta maitresse a de la chance. Je sentais son regard me juger, m’humilier, je ne pouvais être plus bas. Garder le contact visuel était la pire des tortures. Il rapprocha sa main de ma tête : - Suce, petite salope. Je ne me fis par prier deux fois. J’ouvris ...