Eva en uniforme - 1
Datte: 01/10/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... pas que ta femme soit escort ? — Non, pas du tout, je trouve même ça excitant. Perle nous explique ce qu’elle fait là : — J’ai rendez-vous avec un gros client. Comme il voulait une fille de plus, pour un ami à lui, je vais à l’agence voir qui est disponible pour ce soir. Mais viens, toi. Tu verras ce sera marrant. Je lui dis : — Faut voir si je lui plairai, je ne suis pas une bimbo. — Arrête, Éva. Tous les hommes sont fous de toi, tu as un cul d’enfer. Xavier approuve : — C’est vrai, ma chérie. Il ajoute, tristement : — Vas-y, je rentrerai de mon côté. Perle lui dit : — Mais non, je suis sûr qu’il sera d’accord pour que tu viennes voir. Je vais lui téléphoner. Elle se lève et entre dans le bar. Xavier est chaud pour nous accompagner, évidemment. Il me dit : — On le fait, hein ? — Oui… Perle revient en disant : — Tout est arrangé. J’ai parlé de tes fesses et de ta technique pour faire les feuilles de rose. Ouch ! Elle a une voix qui porte, les gens sur la terrasse nous regardent. J’essaie qu’elle soit plus discrète : — Perle, parle plus bas s’il te plaît, on nous écoute. Elle éclate de rire. C’est une nature, Perle. Vanter ma technique pour lécher cet endroit-là, ça me gêne. D’abord une mise au point : ne croyez pas que j’aime lécher les trous du cul des mecs, pour parler crûment. Mais en bonne « public relation » il m’arrive de devoir faire ça pour satisfaire un gros client. En ce qui concerne le cul de Perle, là, je l’ai léchée pour le plaisir. Je lui demande tout bas : — ...
... Il paie bien ? — Au moins 3000 balles (un peu plus de 500 €). À peu près le prix des chaussures rouges ! Non, je n’ai pas oublié mes bonnes résolutions du matin, mais là, il s’agit simplement d’une petite partie à 4… euh… avec une escorte et sous les yeux de mon mari. Oui, bon, ce n’est pas des plus convenable, mais j’ai très envie de ces chaussures. Elles sont à portée de mains : on me tire et je les ai. Son bon client habite sur les hauteurs de Cannes. C’est un gros Brésilien qui s’appelle Danilo. Il est très riche, mais sympa quand même, ce qui est rarement le cas. On boit, on va manger dans un très bon restaurant, puis on rentre et on baise. Moi avec Perle, puis avec un Monsieur, puis l’autre. Danilo appelle même son garde du corps pour qu’il participe. Je ne rentre pas dans les détails, parce que cette soirée est simplement le déclencheur de ce qui va se passer ensuite. On rentre chez nous vers 3 h du matin. Sans même me démaquiller, je me couche et je m’endors. Le lendemain, je me réveille vers 10 h. Je pense tout de suite aux chaussures que je vais acheter cet après-midi. Ce qui m’a réveillée, c’est le téléphone. Xavier est allé répondre. Il revient pour me dire : — Grégoire est surexcité. Il a déjà essayé de nous joindre, mais je n’ai pas entendu. Il veut qu’on aille immédiatement chez eux. Putain ! Quelle scie ! Si c’est encore parce qu’il a la gaule, il peut se la mettre sous le bras. C’est vrai après tout, il a beau être mon beau père et mon patron, je suis « public ...