1. Eva en uniforme - 1


    Datte: 01/10/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Chapitre 1 - Qui est Éva ? Tôt le matin, encore dans un demi-sommeil, je repense assez souvent au feuilleton « Rude awakening » (dur réveil). Les premières images sont chaque fois les mêmes : une jolie brune (Sherilynn Fenn) se réveille dans une chambre qu’elle ne connaît pas, le poignet attaché par une paire de menottes à un des barreaux du lit. Elle secoue la tête en levant les yeux au ciel, genre « Mais qu’est-ce que j’ai encore fait ? » C’est tout moi, ça… Juillet 1980 Je suis dans ma chambre et dans mon lit. À côté de moi, par terre sur un matelas, il y a mon mari. Monsieur dort sur le sol, parce que sinon, il me réveille en se retournant. N’empêche, je me disais déjà : « Mais qu’est-ce que j’ai encore fait ! » Oh, je m’en souviens très bien. J’ai participé à un gangbang en tant que seul élément féminin. Mon mari était présent, mais il y avait aussi neuf hommes, des travailleurs du bâtiment. Vous voyez, je suis croyante et je pense que je ne me conduis pas trop mal dans l’ensemble. Mon tempérament m’amène à me faire culbuter à droite à gauche par des Messieurs, mais je suis sûre que ça ne déplaît pas au Seigneur. Par contre, un gangbang, c’est-à-dire se faire baiser par 9 mecs, 10 si on compte mon mari, ça me semble un peu limite. Allons Éva, un gangbang ! Comment suis-je arrivée là ? Je repense à Éva jeune fille, honteuse que sa mère soit une servante et tirant le diable par la queue (oui, déjà). Obligée de voler quelquefois, un maquillage ou un joli pull. Elle a des ...
    ... pensées récurrentes, qui ont un rapport avec un film, genre « 1.000 et 1 nuit », dans lequel une esclave était menacée du fouet. Quant à l’Éva de la période Cap d’Agde, il y a du pour et du contre. C’était seulement il y a deux mois, je me revois marchant nue dans la galerie marchande du village naturiste, puis toujours aussi nue, servant les clients dans le bar « Chez Lucien ». Ça, c’est le côté « pour », car j’ai beaucoup aimé. Par contre, travailler 14 h par jour et nettoyer les chiottes, j’ai nettement moins apprécié. Éva au Cap d’Antibes, ça me plaît beaucoup. Je découvre le luxe. Je mange des mangoustes (langoustes !). Je me revois émergeant de la piscine avec mon petit maillot blanc devenu complètement transparent — la vendeuse m’avait prévenue, mais je ne l’avais pas écouté ou alors, j’ai trouvé l’idée marrante. Éva mariée, c’est pas mal non plus. Par exemple, ma nuit de noces. Xavier étant bourré, je pars en chasse et je ramène le barman de l’hôtel. C’est lui qui a remplacé le jeune marié et m’a dépucelée à côté de mon mari. Dépucelée, c’est une image, mon minou ayant déjà vu le loup et même toute la meute… pour ne pas dire aussi les meutes des alentours. Lors de ma nuit de noces, je me suis rendu compte que mon mari aimait me voir baisée par un homme, ou deux… ou même dix en ce qui concerne hier. Éva période « public relation », c’est maintenant. Mon beau père m’a engagée dans sa société « Fragrance de Provence. » Je ne gagne pas beaucoup d’argent, environ 10.000 ...
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