1. Petit à petit, l'oiseau fait son nid


    Datte: 14/10/2017, Catégories: fh, extracon, inconnu, Collègues / Travail laid(e)s, caférestau, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral pénétratio, fsodo, ecriv_f,

    ... BTS arraché à grand peine et, par la suite, j’ai passé un concours pour être secrétaire de mairie. C’était ça ou travailler à la ferme avec mes parents. À 24 ans j’ai trouvé une place dans une petite ville de mon Anjou natal. C’est là que j’ai rencontré Christian, un employé municipal de 10 ans mon aîné. Pas très bel homme lui non plus, assez primaire et plutôt rustre mais, à l’époque, j’étais trop heureuse qu’il s’intéresse à moi. Je me disais que, sous ses airs un peu durs, il serait peut-être gentil et que nous serions un jour heureux tous les deux. Cela n’a pas été le coup de foudre entre nous. Il m’a simplement fait comprendre qu’il voulait bien sortir avec moi car il n’avait personne d’autre ! La première fois que nous avons fait l’amour ensemble, il n’y a rien eu de romantique. C’était dans la salle des fêtes d’un village, sur un vieux canapé défraîchi, il m’a prise par derrière comme une bête. Sans préparation, sans bisou, sans rien, il a tiré sa crampe et s’est vidé égoïstement en moi, sans s’occuper un seul instant de mon plaisir. D’ailleurs, mon plaisir à moi, il n’en avait que faire. Mais comme ça l’excitait de m’entendre couiner alors, pour lui faire plaisir, j’ai dû m’habituer à simuler… Nous nous sommes finalement mariés, moi par souci de sécurité, pour ne pas rester vieille fille, lui pour avoir une bonniche à la maison. Les premiers temps il me faisait l’amour presque tous les jours, à la va-vite, comme un lapin, je n’ai pratiquement jamais éprouvé le moindre ...
    ... plaisir dans ses bras. Par la suite, nos rapports se sont espacés et ce, de plus en plus, au fur et à mesure que le temps passait. Il sortait au bistrot, il rentrait tard, il bougonnait sans cesse pour trois fois rien et il a même failli, une ou deux fois, me taper dessus. C’était aussi l’époque où il s’achetait des bouquins pornos et où il ramenait des cassettes X à la maison. Il me reprochait sans cesse de ne pas être excitante. J’ai pourtant essayé de faire des efforts. Je me suis achetée des sous-vêtements affriolants, pour essayer de lui faire plaisir. Mais, l’effet n’a pas été celui escompté, ce goujat m’a trouvée grotesque et ridicule. Une autre fois, il m’a tarabustée pour que je couche avec d’autres hommes, comme une salope, comme une catin, comme une vicieuse. Du coup, j’ai carrément mis le holà et suis retournée vivre quelque temps chez mes parents. Une autre fois encore, il m’a brutalement sodomisée et, alors que je protestais pour ce mauvais traitement, il m’a jetée à moitié nue sur le palier. Vraiment un très sale type ! Cette fois-là, d’ailleurs, j’ai bien failli aller porter plainte, mais il s’est platement excusé et j’ai jeté l’éponge. Peu à peu, il sombrait dans l’alcoolisme et, quatre ans après notre mariage, il a subi sa première cure de désintoxication. C’est à cette époque que j’ai fait la connaissance de Bernard. Bernard, c’était un homme d’une cinquantaine d’années, marié, qui venait d’être élu maire de notre ville. Beau, calme, distingué, bien élevé, ...
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