1. Petit à petit, l'oiseau fait son nid


    Datte: 14/10/2017, Catégories: fh, extracon, inconnu, Collègues / Travail laid(e)s, caférestau, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral pénétratio, fsodo, ecriv_f,

    ... il a tout de suite su me mettre en confiance. Il avait la réputation d’être un coureur de jupons patenté. Aussi ai-je été très surprise lorsqu’il a commencé à me faire des avances. J’avais une bien piètre opinion de moi. À cette époque, j’étais convaincue que n’importe quelle femme de la ville était plus séduisante que ma pomme. Au début de notre relation, je pensais même qu’il y avait un piège, qu’il faisait ça pour m’humilier, qu’il se moquait de moi. Aussi ai-je résisté quelque temps, mais je dois reconnaître qu’en mon for intérieur j’étais très émoustillée et que j’avais malgré tout très envie d’aller plus loin dans ce flirt. Un soir, dans son bureau, il me prit dans ses bras, me serra très fort contre lui et m’embrassa fougueusement. J’étais tellement prête à me donner à lui que je n’eus aucune envie de lui résister. Je lui ai donné ma langue, je l’ai même laissé me tripoter sans protester, oubliant d’un seul coup que je n’étais sans doute que la énième de son harem. Je me sentais tellement bien dans ses bras, ce long baiser était tellement magique… Je l’ai laissé me dépoitrailler, je l’ai laissé me malaxer. Ce soir-là, il aurait pu tout me demander, je lui aurais tout offert, sans sourciller. Mais soudain, après m’avoir un peu caressée, il s’arrêta net. — Martine, allez donc me chercher le dossier du lotissement des Trois Rois… Allons, remuez-vous. L’entracte est terminé, dit-il simplement avec un grand détachement qui contrastait tout à fait avec la fougue dont il ...
    ... venait de faire preuve. Je me suis retrouvée bizarrement à moitié débraillée, les seins à l’air au beau milieu du bureau, complètement désorientée. Après cette embrassade, j’étais vraiment aux nues, tout à fait sur une autre planète. Je me suis rajustée tristement et suis allée lui chercher son dossier. Je me demandais vraiment pourquoi il n’avait pas continué, pourquoi il n’en avait pas profité. Quelques jours plus tard, une autre occasion se présenta, et le voici de nouveau en train de me bécoter et de me tripoter la poitrine. Plusieurs fois aussi dans les semaines qui suivirent et, à chaque fois, il n’allait pas plus loin. Il m’embrassait, il me caressait un peu les seins et c’était tout. De mon côté, je me donnais à chaque fois entièrement à lui, obnubilée par le désir que j’avais de lui, je devenais folle amoureuse, impatiente et avide. Mon mari était revenu à la maison, toujours aussi taciturne, et moi je ne pensais qu’à cet autre homme et à la prochaine fois qu’il me prendrait dans ses bras. Même quand je faisais l’amour avec mon homme, c’est à Bernard que je pensais. J’y pensais tellement fort, j’y pensais même la nuit, je me caressais sous la douche en y pensant. Et quand, de temps en temps, entre deux portes, cet être adoré voulait bien me donner quelques espoirs, j’étais comme folle. De longs mois d’attente pour juste quelques baisers. Seconde rechute de mon mari : cette fois-ci, il s’était battu avec un autre ivrogne qu’il avait défenestré. Et je me retrouve de ...
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