Petit à petit, l'oiseau fait son nid
Datte: 14/10/2017,
Catégories:
fh,
extracon,
inconnu,
Collègues / Travail
laid(e)s,
caférestau,
fsoumise,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
pénétratio,
fsodo,
ecriv_f,
... pendantes, je prends plaisir à les palper. Je le sens venir, je le sens monter, je redouble d’ardeur. Il râle un grand coup. Son sexe puissant finit par exploser sur mon visage. Il m’en met partout, j’en ai partout sur la figure, ça dégouline le long de mes joues. Notre homme reprend ses esprits, il a l’air satisfait de ma prestation. Je n’en crois pas mes yeux, il sort son portefeuille et me tend un billet. Je suis prête à refuser mais il le glisse dans mon bustier, il rouvre la porte et file dans les escaliers. Je me relève péniblement, je me regarde dans la glace, c’est bien moi qui viens de sucer un inconnu, je n’en crois pas mes yeux. J’essuie le sperme, j’en ai jusque sur les épaules. Je remonte lentement les marches. Bernard est toujours là, mais notre ami a disparu. Je l’aperçois au comptoir, en train de payer l’addition. — Notre homme avait l’air satisfait par votre prestation, annonce Bernard avec un large sourire.— Alors, je l’ai gagnée cette nuit d’amour ?— Vous l’auriez gagnée de toute façon, ce soir je suis tout seul et je n’ai personne d’autre à me mettre sous la dent. Quel mufle ! Mais il ne fait que dire clairement ce que je sais déjà. C’est un vrai salopard. — Et puis, depuis le temps que vous attendez, je vous dois bien ça. (Eh, eh, je vais l’avoir ma petite gâterie !) Sur le chemin du retour, je suis toute excitée à l’idée qu’il va enfin me baiser. J’attends ce moment depuis si longtemps ! Mais nous n’allons pas jusque là, il s’arrête dans un petit ...
... chemin. — Et si vous commenciez par me montrer comment vous l’avez sucé ? Il sort de la voiture, je m’agenouille devant lui. Je dégrafe son pantalon, baisse son slip à ses pieds. Sa bite est belle, grosse, odorante. J’ai la chatte en feu, je suis en train de sucer comme une folle l’objet de mes désirs. Quelle belle bite, bien poilue, quel morceau de choix. J’adore sa queue, j’adore son odeur, j’adore tout de lui. Je suis goulue, gourmande, avide, un appétit féroce pour pomper son gros dard. — Arrêtez-vous, Martine, je ne peux plus tenir. À regret, j’obtempère. — Vous êtes une bonne suceuse, Martine, on voit que vous avez l’habitude de sucer et que vous aimez pomper une bite. L’habitude, pas tant que ça ! Nous remontons en voiture, direction ma demeure. Il insiste pour que nous fassions ça dans le lit conjugal,« Pour cocufier ton mari bien à fond », me confie-t-il. Il me fait mettre nue, à quatre pattes sur le lit. Le temps passe, il ne fait rien. Où est-il ? Je suis à bout. Je sens tout d’un coup deux mains fermes qui écartent mes fesses et une langue qui glisse le long de ma chatte. Ahhh, quel bonheur ! Ma chatte coule, mes seins durcissent instantanément, au moindre contact de sa part. C’est merveilleux. Il me tourne sur le lit et dévore mon abricot, je jouis par sa bouche, le moindre coup de langue me transporte au septième ciel. J’avais tellement envie, tellement envie de ça. Il monte sur moi. Sa bite est puissante, la saillie est profonde. Il me laboure avec vigueur. Voici ...