1. Apprentissage sulfureux (Chap 3 et 4)


    Datte: 03/10/2020, Catégories: fh, couleurs, Collègues / Travail médical, douche, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, pénétratio, init,

    ... pause fit Clotilde, je suis en nage. J’étais dans le même état. Elle fila dans la salle de bain et démarra la douche. Elle revint dans la chambre, ôta un à un ses boutons de blouse. Mis à part une culotte, elle était nue dessous. — On va prendre une douche, ça nous fera du bien. Puis Clotilde se dirigea vers moi, commença à enlever ma veste, elle déboutonna ma chemise, desserra mon ceinturon, baissa ma braguette. Mon pantalon tomba à terre, ses mains se débarrassèrent de mon slip. La responsable d’étage en fit de même, sa culotte fila au sol. Son pubis était fraîchement désépaissi. — Viens fit elle, ça va nous faire du bien. Elle me prit par la main, m’attirant vers la salle de bain. Nous montâmes dans la baignoire, Clotilde me tendit un savon. — Vas y, badigeonne-moi de savon. Je tartinai son corps de mousse. — Sur les seins, me fit elle, et aussi plus bas. J’obéissais. Après tout, j’étais là pour apprendre. Ce corps doux me fit me réveiller, très vite j’étais dans tout mes états. Clotilde le remarqua, posa la main sur moi. — Jolie tige, fit elle enjouée, digne d’un black. Sur ce, ...
    ... elle me tourna le dos, me tenant toujours par la queue. — Enfonce-toi, petit blanc, n’aies pas peur, ma chatte a faim, mais je vais pas te manger. Elle me plaça à l’orée de sa chatte, puis me dit : — Vas-y, petit, défonce-moi. J’entrai en elle, j’y laissai mon pucelage. Peu importe, le fruit était juteux, j’en prenais pleins les yeux. Je la limai avec acharnement, un peu comme un jeune chiot à qui on donne son premier os. Gourmand, pas vraiment sûr de moi, j’y allais au feeling, je captais ses sensations. Clotilde était vaginale, ma queue lui faisait du bien, rapidement elle commença à haleter pour enfin se lâcher : — Pine-moi, gros cochon, elle est bonne ta queue. Fortement stimulé par ce langage fripon, j’osai défoncer cette chatte gourmande. Enfin, Clotilde s’agrippa aux rideaux de douche, en pleine extase, elle prenait son pied. Heureusement, car moi, je n’en pouvais plus de la limer. D’un ultime coup de rein, je me vidai dans le doux fruit mouillé. Je libérai mon foutre, à peine reconstruit des émotions matinales. Bon début d’apprentissage ! Vos avis, vos commentaires oup51@hotmail.fr 
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