Prostitutions - Histoires de Sexe

Prostitutions

... rire nerveux. En lui prenant la main, Pauline se leva, nous dévoilant ses seins magnifiques, sa taille et ses hanches somptueuses, et sa grosse bite tendue vers le plafond. — Ha ha ! Pô-linh ! I love futa ! Le gros posa sa coupe et s’agita dans la bassine géante, se tournant résolument vers Laetitia. Madame Li se leva à son tour et suivit Pauline qui sortait pour venir entre mes bras. — J’aimerais autant te faire mouiller que te filer la gaule, ma puce…— Mais je mouille aussi, mon amour… me répondit-elle en pressant sa bite contre moi. Je vérifiai ses dires d’un doigt inquisiteur tandis que la jolie Chinoise venait se joindre à notre étreinte et plaquait sans retenue sa main entre mes cuisses. — Ha ha ! My wife two dicks for she ! She happy ! Ça avait l’air de l’exciter. Laetitia s’était tournée vers lui, apparemment pour le branler. En se frottant contre moi, Pauline baissa mon caleçon. Madame Li se précipita pour s’emparer de mon sexe durcissant. — Ha ha ha ! Pô-linh flend big dick too ! Wife vely happy ! *** La famille Li était enfin rhabillée et sur le départ. Madame avait joui plus qu’honorablement sous les assauts que Pauline et moi lui avions conjugués et Monsieur était visiblement également ravi de sa soirée. — Gleat night ! Pô-linh and Lé-ti-zhya and Gû-Thi gleat fuck ! Madame Li me souriait toujours de toutes ses dents. Le millionnaire aboya un ordre cantonnais au sympathique Wang qui lui apporta en retour une sacoche, d’où le gros sortit des liasses de billets de ...

... cinq cents euros. Il compta à la louche puis en tendit un gros paquet à Laetitia. — Thilty. Ten fol each. Trente mille euros ! Ce type venait de larguer trente mille euros ! — Gleat night ! dit-il encore. I love futa ! C’était la deuxième fois qu’il disait ça ; je ne comprenais pas ce mot. — Futa ? répétai-je.— Futa, yes, girl with dick. Une fille avec une bite… Il avait l’air d’en parler comme s’il en avait déjà vue. Ça dut aussi interpeller les demoiselles car Pauline lui demanda : — Did you already meet a… a futa before ?— Yes ! But not like you ! Not beautiful !— Where ? Where did you meet her ?— I don’t know. Don’t lemembel.— Tell me, please ! Where did you meet her ? I need to know ! Ça avait l’air de lui tenir à cœur, à Pauline. Elle ne consentit à laisser Monsieur Li s’en aller qu’après que celui-ci lui eut donné, dans son anglais de basse-cour, la sombre description d’une sorte de club ou de bar à putes caché au fin fond d’Amsterdam, et dans lequel il prétendait avoir déjà rencontré une « futa ». Madame Li fit encore demander à son mari s’ils pourraient revenir nous voir à leur prochain voyage en France. Laetitia leur promit évasivement que oui bien sûr, et enfin ils mirent les voiles, embarquant Wang et son collègue qui commençaient à s’endormir. *** — Amsterdam, ça vous tente ? Il était deux heures et demie du matin. Pauline sortait de la douche, toute pimpante dans son peignoir, et parfaitement décidée à essayer de retrouver la trace de la « futa » dont avait parlé ...