1. Nadine, la vengeance d'une maman (15)


    Datte: 07/10/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... l’aise, d’autant plus qu’il insiste. — Je suis tellement heureux depuis que Papa est parti, depuis que nous sommes seuls tous les deux… Rien que toi et moi … Je t’aime, Maman ! Nadine se raidit sur son siège. Tant qu’ils n’évoquent pas ce qu’il advient entre eux, elle feint de croire qu’il ne s’agit que d’un moment d‘égarement passager. Un petit jeu d’une perversité inouïe certes, mais sans réelles conséquences à long terme. Une simple parenthèse accidentelle provoquée par les circonstances et la promiscuité. Cette désinvolture a ses limites, et son fils le lui rappelle chaque fois qu’il laisse parler son cœur. Il a beau être majeur, ce n’est encore qu’un enfant ; un petit garçon victime des sentiments contradictoires que lui inspirent sa maman. — Mais moi aussi je t’aime, gros nigaud… et pourtant tu ne le mérites pas toujours ! Qu’est-ce qui te prend ? Elle essaye de noyer le poisson, mais sa voix trahit son désarroi. — Je ne t’aime pas de cette façon, moi… Je t’aime comme un amant… Je suis amoureux de toi ! Tout son corps se fige, comme si elle refusait l’énormité de ce qu’il vient d’avouer. Ses coups de soleil sont oubliés ; elle a soudain très froid. Elle reprend son souffle, essaye de maitriser les battements de son cœur affolé. — Mais je suis ta mère, Maxime, je ne suis pas ta femme… et malgré toutes ces « choses » que nous faisons ensemble, je ne le serai jamais ! Tu ne peux pas être amoureux de moi… C’est impossible, mon chéri, tu n’as pas le droit ! — Tu n’es ...
    ... peut-être pas ma femme, mais tu me suces la queue… et je te baise, pas vrai ? Alors arrête un peu, Maman, car tu es loin d’avoir un comportement de mère exemplaire avec moi ! Nadine ne s’attendait pas à un tel coup bas venant de sa part, à autant de méchanceté spontanée. Elle est effondrée. — C’est vrai, tu as raison… Je me suis conduite d’une manière irresponsable… Je n’aurais jamais dû… Merci de m’ouvrir les yeux… J’espère qu’un jour tu me pardonneras… Elle est dans l’état d’esprit de quelqu’un qui reconnaît son crime et qui est soulagé de l’avouer. Pleine de bonne volonté, elle cherche à faire la paix, et puis elle se rend compte qu’il ne l’écoute plus. Elle le regarde et s’aperçoit qu’il y a de la panique dans les yeux de son fils. — Qu’est-ce que tu as, Maxime, tu es tout pâle… Parle-moi, mon chéri, tu me fais peur… Que se passe-t-il ? — Je suis désolé ! C’est moi qui te demande pardon… Je suis vraiment trop con ! Tu n’as rien à te reprocher... Excuse-moi, je t’en supplie… Oublie ce que j’ai dit ! — Non, Maxime ! Tu as dit la vérité… Une mère et son fils… Ce n’est pas normal… Ce n’est pas sain ! — On est bien tous les deux, pas vrai ? Quand nous sommes dans ton lit … tu es d’accord, non ? Ne dis pas le contraire, Maman, je sais que ça te plait à toi aussi... Alors maintenant que tu m’as permis d’y gouter, je ne pourrais plus m’en passer… Plutôt crever ! Pour un garçon inexpérimenté, on peut dire qu’il sait retomber sur ses pieds, qu’il est bien plus perspicace qu’elle ne le ...