Nadine, la vengeance d'une maman (15)
Datte: 07/10/2020,
Catégories:
Inceste / Tabou
... pensait. Puisqu’ils sont en train de crever l’abcès, une question qu’elle n’osait pas lui poser lui brule les lèvres ; c’est le moment où jamais. — Dis-moi, Maxime… Est-ce que j’ai fait quelque chose d’inapproprié ? Est-ce que je t’ai provoqué ? — Tu n’as rien fait, Maman, c’est moi… — Mais pourquoi, alors ? Que s’est-il passé ? gklgjjm — C’est marrant que tu le demandes… Le gars dont je t’ai parlé, il voulait savoir lui aussi comment c’était arrivé… — Répond juste à la question… — Tu te souviens, quand tu étais déprimée, et que je venais te réveiller ? — Vaguement… J’étais bourrée de cachets… Quel est le rapport ? — Et bien… Un matin, tu dormais le cul nu… Je n’avais encore jamais rien vu d’aussi beau, d’aussi excitant… — Et c’est tout ? — Tu m’as demandé, je te réponds, Maman… — Seigneur, Maxime ! Je sais bien qu’à ton âge… une femme nue… en vrai… ça vous remue… mais je suis ta mère, bon-sang ! — Je sais ! Je ne suis pas un animal ! Mais j’étais incapable de penser à autre chose… C’est comme si tu m’avais envouté ! — Tu aurais pu te rabattre sur une de tes copines de classe, mignon comme tu es… Passer à autre chose, faire en sorte de te libérer de cette attirance malsaine… Tu ne crois pas ? — Les filles de mon âge ne m’intéressent pas, elles ne t’arrivent pas à la cheville ! C’est d’une ...
... femme dont j’ai envie Maman, de toi, pas d’une gamine… Nadine jette l’éponge. Son fils lui semble si exalté que quoi qu’elle dise, elle sait qu’il aura toujours un argument pour la contredire, qu’il aura le dernier mot. Elle lui a permis de partager sa couche, pour se venger de son mari absent d’abord, bafouer l’autorité paternelle, mais elle reconnait qu’elle y a pris gout depuis. Baiser avec un jeune homme fou de désir - son propre enfant - lui donne l’opportunité de connaître à nouveau l’ivresse d’une sexualité épanouie et partagée, et c’est ce qui la dérange le plus. « C’est mon fils, non de non ! » Comme elle pouvait s’y attendre, il ne lâche rien maintenant, et il est un peu tard pour s’acheter une conduite ou avoir des remords. Elle n’a aucune raison de jouer à l’effarouchée, ou de chercher à le culpabiliser. Il empaume sa chatte, la main à plat, comme s’il avait deviné les conflits intérieurs qui la travaillent et qu’il investissait le territoire sacrée afin qu’elle comprenne qu’elle lui appartient. Elle l’admet volontiers, se laisse tripoter la motte à travers le maillot, et quand il glisse ses doigts sous l’élastique, elle écarte docilement les cuisses, s’ouvre, pour lui donner ce qu’il est venu chercher. — Oh, Maman, Tu es toute mouillée… Conduis plus vite… Rentrons à la maison…