1. La fille qui voulait voir la mer.


    Datte: 08/10/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Lesbienne

    ... un bateau avec des inconnus, peut-être des psychopathes… Oui, je suis terriblement douée pour me faire peur. L’homme me conduit vers l’arrière du bateau. Il y a une petite piscine et autour, des banquettes, une table et des chaises. Deux hommes sont assis, ils consultent des papiers, tandis que deux femmes sont allongées sur des chaises longues et prennent le soleil, les seins nus. C’est assez surprenant. Il y a une femme d’environ 38 ans, un peu forte, et une jolie fille de mon âge qui a une longue chevelure noire. Je leur dis : — Bonjour… C’est la femme qui me répond : — Bonjour, vous êtes Mona, c’est ça?? — Oui, Madame. Étant encore dans mes vêtements de Paris, je me mets à transpirer, debout en plein soleil. — John va vous montrer votre cabine pour que vous puissiez mettre votre uniforme, mais la première chose à faire quand vous entrez ou vous sortez d’une pièce où il a quelqu’un, c’est de faire une révérence. Allez-y. J’ai cherché sur le Net pour voir comment c’est, la révérence. Je croise mes jambes, mes mains relevant mon jean, tête inclinée. Elle dit : — Ce sera mieux avec une jupe. Bon, John, montrez-lui sa cabine. — Oui, Madame. Je me retourne, mais il me murmure : — Révérence. Oh, c’est vrai ! Je dis : — Pardon Madame, je n’ai pas encore l’habitude. Je fais la deuxième révérence de ma vie. Ce ne sera sûrement pas la dernière. On prend des escaliers pour monter vers les ponts supérieurs. Il ouvre une porte et on entre dans une petite cabine. Il y a heureusement un ...
    ... hublot, sinon, bonjour la claustrophobie. Il m’annonce : — Tu partageras la cabine avec Lucia, l’autre bonne. — Mais, c’est un lit d’une personne… Il hausse mes épaules en disant : — Vous n’êtes grosses ni l’une ni l’autre. — Dites, elle n’a pas l’air facile, Madame. — Fais ce qu’elle te dit et ça ira. — C’est mère et fille?? — Oui. Fais attention à la fille, c’est elle qui va s’occuper de toi et c’est pas une commode. Charmant. Je veux rentrer chez moi?! Non, je n’ai plus de chez-moi. Il ajoute : — Change-toi, puis va chez Madame. Et n’oublie pas la révérence. — Oui, Monsieur. Mon uniforme est sur le lit. Je me déshabille pour l’enfiler. Je fais un bond d’un siècle dans le temps je passe de 2020 à 1920… Il se compose d’une robe noire avec des manches courtes, l’encolure est arrondie et les manches sont garnies d’un bord blanc. Il y a un tablier tout aussi blanc qui se noue derrière le cou et autour de la taille. Et pour finir, une petite coiffe en dentelle à fixer dans les cheveux avec des épingles. Les chaussures sont noires et plates. Je sens que le bateau bouge, c’est moi qu’on attendait pour appareiller. Après m’être apprêtée, je refais tout le chemin en sens inverse. Ce bateau est immense. Arrivée à l’arrière, je fais une révérence avant de dire : — Voilà, je me suis changée, Madame. — C’est bien, ma fille. Allez à la cuisine pour vous présenter à la cuisinière. Sa propre fille, qui est toujours à côté d’elle, lui dit : — Je la prendrais bien pour me laver… — C’est une ...
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