1. La fille qui voulait voir la mer.


    Datte: 08/10/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Lesbienne

    ... excellente idée, Carole, tu sens la transpiration. Tu devrais mettre du déodorant et te laver tous les jours. — C’est les vacances, m’man… Elle me regarde, pas gênée du tout des réflexions de sa mère. Elle me dit : — Viens avec moi, petite. C’est surprenant, se faire appeler “petite” par une fille de mon âge et moins grande que moi. Et puis, elle n’est pas capable de faire sa toilette toute seule?? Sa mère lui dit : — Ne sois pas trop familière avec les domestiques, Carole. — Mais non, M’man. On va dans sa cabine, c’est cinq fois plus grand que celle que je dois partager avec l’autre femme de chambre. Elle a même une salle de bains avec douche. Elle enlève sa culotte de maillot. Je trouve ça gênant. — Ouvre les robinets de douche. Tiède. Quand l’eau coule, elle met sa main sous le jet et me dit : — Tiède?! Ça, c’est froid. J’augmente le chaud, ça lui convient. — Prends un gant de toilette, du savon et lave-moi. Elle est complètement nue devant moi. Et nue, c’est bien le mot qui convient, parce qu’elle est épilée. Elle n’a vraiment aucune pudeur. Je reste d’abord décontenancée. Elle me dit sèchement : — Tu attends le dégel?? — … Euh… je suis un peu surprise, parce que… Elle me coupe en articulant bien, comme si j’étais débile, pour redire : — Tu prends le gant de toilette, tu mets du savon et tu me laves. — Oui, Mademoiselle. Je la savonne entièrement… Moi, je ne voudrais jamais qu’on me fasse ça. J’ouvre la douche pour la rincer, ensuite je dois la sécher, la coiffer, et ...
    ... enfin chercher un maillot dans le tiroir qu’elle me désigne. Allez, Mona, tu serais dans un bureau avec un chef de service chiant, ce serait bien pire. Ici, tu as lavé une fille, ce n’est pas un boulot tellement dérangeant. Un peu humiliant, peut-être. Ce qui est surprenant, c’est la désinvolture de cette fille. Tout à coup, elle s’assied sur la toilette et fais pipi. Là, je deviens toute rouge. Pense aux 3.000 euros par moi, Mona. J’essaie de comprendre la mentalité des patrons. S’il faut se cacher de sa femme de chambre, ça devient compliqué. Oui, mais de là à pisser devant elle… Je suis quand même soulagée quand Carole met sa culotte toute seule. Bravo. Elle me lance : — Range la salle de bains et la chambre. Quand ce sera fait, va à la cuisine, on te donnera des ordres. On avait dit femme de chambre, pas bonne à tout faire. Je le pense, je ne le dis pas. Bah?! ce n’est que ranger. Elle n’est pas soigneuse, il y a des vêtements sales par terre, des bouteilles vides et même une assiette avec un reste de nourriture. Je viendrai chercher ça plus tard, avec un plateau. Je retourne dans la salle à manger. Il y a un couple d’une cinquantaine d’années, assis dans des fauteuils. Ils discutent. Je fais maladroitement une révérence en disant : — Bonjour Monsieur, bonjour Madame. La femme est une grosse blonde décolorée avec beaucoup de bijoux. L’homme, un grand maigre avec une barbe noire. Elle me demande : — Vous êtes la nouvelle bonne?? — Oui, Madame. — Vous vous appelez comment?? — ...
«12...567...10»