1. Jeux de société...


    Datte: 09/10/2020, Catégories: fh, Collègues / Travail toilettes, pénétratio,

    — Allez, viens, ça te fera du bien de sortir. Et puis bon… Il y aura Lorène. À l’écoute de ce prénom, mon visage s’éclaira et je relevai la tête de mon journal pour questionner davantage mon ami Henri. — Lorène, tu veux dire la Lorène qui bosse dans le marketing ?— Précisément oui. J’étais un peu vexé qu’Henri ait perçu mon attirance pour cette jolie brune, moi qui m’étais évertué à me montrer impassible et discret en sa présence. Voilà en effet quelques mois que je rencontrai par hasard cette jeune femme lors de dîners chez des amis communs. J’étais tout de suite tombé sous son charme. Intelligente, raffinée et séduisante, cette belle brune de trente ans avait tout pour me plaire. — Je me demande ce que t’attends vieux. Cette nana est vraiment super. Je fis mine de réfléchir quelques instants et acceptai bien évidemment son invitation. Le vendredi soir, c’était rempli d’appréhension et d’excitation que je me rendis chez Henri. La plupart des convives étaient déjà présent, y compris Lorène qui semblait ravie de me revoir. Les yeux crayonnés de noirs, vêtue d’une robe de laine grise et bleu marine et portant un petit diamant autour du cou, la jeune femme était véritablement resplendissante dans cette soirée qui comptait pourtant de très belles femmes. Après un dîner plutôt frustrant où j’étais placé loin de la jolie brune, Henri me fut d’un grand secours lorsque l’idée d’un jeu de société fut lancée, puisqu’il s’arrangea innocemment pour que Lorène et moi soyons dans la même ...
    ... équipe. J’étais aux anges et elle semblait l’être aussi. Le jeu était unquizz de culture générale sans grand intérêt, si ce n’est qu’à plusieurs reprises nos mains se touchèrent, trop pressées d’appuyer sur le «buzzer ». Et c’était également l’occasion d’admirer ses magnifiques yeux verts lorsque nous nous concertions pour le choix d’une réponse. La soirée prit fin dans une ambiance détendue, et il fut rapidement convenu que tout ce petit monde se retrouverait la semaine suivante. J’échangeai mon numéro de portable avec Lorène et, rentré chez moi, reçu un SMS sans équivoque de sa part : Je repensais sans cesse au contact de ses mains sur les miennes, à son parfum délicat que j’avais senti à loisir durant la soirée. Avant de m’endormir, je me masturbai longuement en pensant à elle. Malgré un travail envahissant, la semaine s’annonçait horriblement longue. Elle fut néanmoins interrompue par un mail d’Henri, aussi laconique qu’enthousiasmant. — Poker vendredi ? La réponse de Lorène se fit attendre. Jeudi soir pourtant, elle envoya un mail qui me délivra. — Couvrez-vous, j’y serai ! Pas spécialement bon au poker, c’est avec une certaine appréhension que je me rendis chez Henri, me voyant déjà plumé bien avant les autres. Je le savais plutôt doué, mais n’avais par contre aucune idée du niveau des quatre autres participants. Prévoyant et motivé à l’idée d’impressionner Lorène, j’avais de façon un peu puérile passé ma semaine à jouer intensivement en ligne pour me remettre à niveau. ...
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