1. Jeux de société...


    Datte: 09/10/2020, Catégories: fh, Collègues / Travail toilettes, pénétratio,

    ... Une fois là-bas, Lorène me subjugua une nouvelle fois par sa beauté simple mais élégante. Elle portait un pull aubergine sur une chemise blanche, complétée d’une jupe moulante noire et de bas à motifs. Ses cheveux étaient attachés en une courte queue de cheval, ce qui dégageait sa nuque et accentuait l’échancrure de son décolleté. Par chance, le niveau de mes adversaires était à peu près équivalent au mien. À la fin de la première heure, j’étais dans une situation confortable à l’inverse de Lorène, dont je voyais la mine se décomposer en face de moi. Je fis même mine de lui prêter des jetons pour la titiller davantage. À la fin de la deuxième heure, et sentant que la partie lui échappait, Lorène, en habile stratège, cala son pied entre mes jambes et commença de lentes circonvolutions. Surpris, je tressaillis et faillis renverser la table pleine de jetons et de boissons. Lorène pouffa discrètement mais ne retira pas son pied pour autant. Ses caresses étaient une véritable torture pour ma concentration mais un délice pour mes sens. Je luttai de longues minutes contre un plaisir si bon qu’il m’amena irrémédiablement à l’orgasme. Ses va-et-vient furent bientôt si réguliers et précis que je jouis, me déversant copieusement dans mon caleçon, tendant mes muscles pour masquer tant bien que mal mon plaisir. Lorène ne cessa de me fixer des yeux, accentuant encore davantage mon trouble. Je perdis complètement le fil de la partie et fut le premier à quitter la table peu de temps après. ...
    ... J’en profitai pour me diriger vers la salle de bain me nettoyer. En me débarbouillant devant la glace je songeai à l’effronterie de Lorène, pleine de surprise. Je décidai finalement de jeter mon caleçon. En pleine toilette je fus interrompue par Lorène qui toqua à la porte. Je me réajustai comme je pus et fis mine de me laver les mains lorsqu’elle entra. — J’ai fais tapis juste après ton élimination… Pas chance pour moi, ça n’a pas été payant.— Pour moi si. Je l’embrassai à pleine bouche ce qui lui arracha un cri de surprise qui mourut dans sa gorge. Elle répondit à mon baiser avec la même avidité, me saisissant le visage à deux mains et me mordillant la lèvre inférieure. Je lui saisis un sein au travers du pull et le malaxai sans ménagement alors que sa main cherchait déjà mon sexe. Elle le libéra de l’étreinte du pantalon et s’en saisit avec fermeté. Je bandai à nouveau comme un âne. Je relevai sa jupe au-dessus de sa taille et écartai le pan de sa jolie culotte de dentelle noire. Elle releva une jambe qu’elle plia derrière moi et me guida en elle. Je m’enfonçai en elle sans ménagement d’une longue poussée continue. Nous avions conscience de négliger des préliminaires qui auraient pu être au demeurant fort agréables, mais cette étreinte exutoire libérait des semaines d’approche, de séduction, d’envie. Je la pénétrai avec énergie et régularité. Lorène se cramponna au lavabo sous mes coups de reins puissants, renversant au passage brosse à dent, savon et produits de toilette. ...