Amours sans paroles
Datte: 09/10/2020,
Catégories:
fh,
jeunes,
frousses,
rousseurs,
couple,
inconnu,
école,
amour,
volupté,
cérébral,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
strip,
odeurs,
facial,
Oral
jeu,
yeuxbandés,
... habilement mon majeur dans la bretelle de son soutien-gorge. Cela raisonna en moi comme un appel au crime. Je jouais donc, les yeux toujours fermés avec la bretelle du bout de mon doigt. Pendant ce temps, sa main droite se baladait sur mon torse. Montant et descendant, de moins en moins haut, mais, chaque fois, de plus en plus bas, tandis que sa main gauche s’immisçait entre mon caleçon et mon pantalon, de sorte que je ne retenais plus ce dernier que par d’habiles mouvements du bassin qu’elle fit cesser dès qu’elle s’en aperçut en donnant un coup sec sur le tissu. Mon pantalon sur mes chevilles, je me sentais de plus en plus nu, et vulnérable, à sa merci, mais heureux et fiévreux comme jamais je ne l’avais été. Lentement je m’aventurais à faire filer et retenir la bretelle jusqu’à ce que je cède au plaisir de l’entendre glisser sur sa peau avec un souffle rapide. Ma main caressait à présent son épaule totalement nue. Je ne pus m’empêcher de la laisser lentement descendre vers son sein, sans doute à moitié découvert. Sous le bas de ma paume, je sentis rapidement la courbe de son corps s’avancer dans ma direction, une ferme rondeur commencer de se dessiner sur le bout de mes doigts, jusqu’à ce que je sente un ourlé de fine dentelle s’offrir contre ma main comme le plus beau des remparts à ce sein palpitant. Elle fit alors une chose qui m’impressionna. Elle se colla à moi, m’enserrant de ses bras et frotta sa jambe droite contre la mienne. Je sentis son petit pied nu aller et ...
... venir doucement conter ma cheville sur laquelle elle s’amusait à tirebouchonner ma chaussette. Puis son pied disparu de ma jambe et je sentis sur le haut de mes pieds ses orteils s’agiter et s’entortiller jusqu’à défaire mes lacets. Puis elle envoya valser mes chaussures d’une légère pression sur l’arrière de mon pied et presque sans mon aide. Entre ses orteils, elle tira ensuite le bout de mes chaussettes jusqu’à les ôter à leur tour complètement de mes pieds. Encore aujourd’hui, je demeure sidéré devant tant de précision et d’agilité. Elle attrapa de même l’une puis l’autre jambe de mon pantalon et, avec une aide minime de ma part, finit par arriver à ses fins. Son corps s’éloigna à nouveau du mien et ma main, naturellement, se retrouva sur son sein gauche, formant une coupe, le soutenant et le caressant. J’avais croisé son sourire des dizaines de fois au cours des dernières semaines, et je connaissais la couleur de ses yeux et la courbe de son nez, mais, aussi bizarre que cela puisse paraître, je n’avais jamais laissé mon regard errer sur le reste de son corps. À présent, mes yeux toujours fermés n’en avaient plus le loisir, du moins jusqu’à ce qu’elle m’autorise à les ouvrir, mais mes mains se chargeaient de découvrir ses courbes et ses rondeurs. Elle était assez mince, sa taille était fine et ses hanches assez larges, quant à ses seins, ils étaient fermes et ronds. Je sentais son mamelon gauche gonflé sous le coton doux de son soutien-gorge, ses seins comme ses tétons ...