Latifa reprend du service - Histoires de Sexe

Latifa reprend du service

... pantins que je manipule selon mon intérêt. Alors que toi, tu es une véritable épicurienne, à la fois libertine, intrépide et indomptable. Je ne connais que toi pour comprendre vraiment ce jeu délirant de domination et de soumission extrême, auquel tu t’adonnes sans retenue. Cela faisait deux ans que je t’attendais ici, et enfin, tu es venue.— C’est pour me retrouver que tu as tué Carine ? Les bras m’en tombent !— Et quelques autres, aussi, dont on n’a pas retrouvé le corps. Si tu veux me punir, tu n’as qu’à me torturer ici, je t’en donne l’occasion. Mais avant, je voudrais te demander : il te plaît, ce fauteuil ? Il est important qu’il te plaise, parce que tu vas y passer tes derniers moments.— Il a une esthétique à laquelle je ne suis pas insensible, en effet. Nous nous regardons quelques instants, droit dans les yeux. — Si tu es en colère contre moi, venge-toi, dit-elle. Tu vois, je suis nue et vulnérable. Profites-en. Tout mon matériel est disponible ; tu peux en user à ta guise. Surtout, ne m’épargne pas. Je ne comprendrais pas cela de ta part.— Sur ce plan, tu peux compter sur moi. D’abord, je positionne les sangles. Il y en a beaucoup, larges, sophistiquées. Elles sont conçues pour ne pas blesser, même lorsqu’on se débat. Une fois la soumise positionnée, les parties intimes sont facilement accessibles et bien éclairées par un spot. Je commence par lui chatouiller les pieds, puis l’intérieur des cuisses, et sous les bras. Très vite, impitoyablement. Elle se laisse ...

... faire sans protester, en riant d’une manière compulsive. Pas question de l’épargner. Sous le fauteuil se trouvent des vibromasseurs, dont un à grosse boule, que je plaque contre son clitoris. Il y a même un support permettant que l’engin vibrant tienne en place tout seul, avec un ressort réglable pour maintenir la pression que l’on veut de la boule sur le sexe. Un trésor d’ingéniosité. Nolwenn respire fort et semble supporter assez bien ce que je lui inflige. Parfois même elle me gratifie d’un décevant « c’est tout ? ». Mais je la connais bien pour avoir vécu avec elle plusieurs années, et sais les gestes qui l’enverront tout droit au septième ciel : deux doigts dans son vagin, pour masser son point G d’un mouvement vers le haut, comme pour dire « viens ici », et un cunnilinctus, ou bien des vibrations juste positionnées sur le bouton des délices. Voilà, j’arrive à la faire crier, ce qu’elle fait sans retenue. À nouveau, ses pieds comme terrain de jeu à mes chatouillements, alors que la stimulation vibratoire se poursuit automatiquement. Seconde étape : fouiller l’anus d’un doigt bien lubrifié, et le vagin de l’autre main. Elle s’est toujours délectée de cette façon de l’explorer. Au contact de sa petite rosette, elle me regarde bizarrement. J’enfonce entièrement l’index. Surprise ! Il y a un petit objet métallique caché dans le rectum. J’extrais la chose : c’est une clé. — Tu as trouvé le sésame. Elle ouvre la porte du fond, dit-elle. Si tu veux, tu peux t’enfuir. Ce serait, ...