1. Latifa reprend du service


    Datte: 10/10/2020, Catégories: f, ff, fff, asie, cadeau, prost, nympho, bizarre, amour, fsoumise, fdomine, humilié(e), vengeance, jalousie, dispute, Voyeur / Exhib / Nudisme vidéox, pied, Masturbation Oral fdanus, jouet, zoo, sm, donjon, attache, BDSM / Fétichisme baillon, yeuxbandés, fouetfesse, humour, aventure,

    ... inventés sur le physique de la Chinoise, ce qui fait monter l’envie en moi et m’incite à me caresser, l’oreille toujours collée sur le conduit d’aération. Même les plus perverses ressentent un besoin instinctif de donner et recevoir de la tendresse, comme les obsédés de mon rêve recherchaient la douceur des femmes, à tout prix. Une larme glisse sur ma joue. Moi aussi, malgré tout, je ne peux pas m’empêcher d’être jalouse… à en crever ! Le silence, de nouveau. Elles sont allées se coucher, peut-être ensemble. Demain soir, celle qui a été l’amour de ma vie se propose de me chatouiller à mort. Charmant programme. Mais tout va bien. Malgré la lumière ambiante que je ne peux pas éteindre, malgré la peur mêlée d’excitation, je parviens enfin à trouver le sommeil, en détendant mes jambes une à une, puis mes bras, jusqu’à sombrer dans un tourbillon de délicieux cauchemars. On me fait patienter longtemps. J’entends qu’au-dessus du plafond, on installe et on branche du matériel, on déplace des chaises, bref, on s’active. Curieusement, je suis plus excitée qu’inquiète à l’idée d’être la star vers laquelle tous les regards seront braqués, même s’il s’agit d’une drôle de corrida dont je serai, en quelque sorte, l’innocent taureau. Ou bien alors, une chrétienne livrée aux lions, dans la Rome antique de Néron. D’ailleurs, pour confirmer mon impression, une femme vient me chercher. C’est la maquilleuse. Elle est accompagnée d’Adrienne qui me rend mes vêtements, ceux que je portais en ...
    ... arrivant à l’agence, et qu’elle a entre-temps impeccablement repassés. C’est gentil, même si je me doute qu’il y a une raison autre que celle de me plaire. Elle m’attache sur une chaise – décidément, je commence à m’habituer à être ligotée – où je suis pomponnée et coiffée avec soin, blush, rouge à lèvres, fond de teint et tutti quanti. Elle s’occupe de moi avec douceur et m’offre même de regarder le résultat dans un miroir : impeccable. Je n’aurai jamais été aussi belle que le jour de mon exécution orchestrée par celle que j’ai tant aimée. Puis, je suis invitée à m’allonger sur une table de massage, sur le ventre, attachée par poignets et chevilles, et abondamment huilée sur tout le corps, comme une gladiatrice avant d’entrer dans l’arène. C’est une essence parfumée, volatile, dont l’odeur puissante, envoûtante, me plaît bien. L’onction que je reçois – l’extrême onction, en quelque sorte, célébrée par une prêtresse de l’érotisme –, dans le geste de l’appliquer, est en elle-même un plaisir délicat, où les mains se font caressantes, sensuelles, riches en sensations qui exacerbent mes désirs, les yeux fermés. Le contact appuyé des mains le long de ma colonne vertébrale, d’un mouvement descendant de la nuque au coccyx, plusieurs fois, est véritablement divin. Les ennuis auxquels je fais face n’existent plus. J’aurais même payé pour recevoir cela. Puis les doigts se font indiscrets, fureteurs entre mes fesses écartées très impudiquement. Je sens qu’un index pénètre l’orifice de mon cul, ...
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