Latifa reprend du service
Datte: 10/10/2020,
Catégories:
f,
ff,
fff,
asie,
cadeau,
prost,
nympho,
bizarre,
amour,
fsoumise,
fdomine,
humilié(e),
vengeance,
jalousie,
dispute,
Voyeur / Exhib / Nudisme
vidéox,
pied,
Masturbation
Oral
fdanus,
jouet,
zoo,
sm,
donjon,
attache,
BDSM / Fétichisme
baillon,
yeuxbandés,
fouetfesse,
humour,
aventure,
... qu’elle tenterait de partir, dit la première, mais elle n’est pas venue. Tu lui as bien donné la clé ?— Mais oui. Elle a juste choisi de rester, volontairement. Je n’ai rien fait pour la retenir.— Elle veut se suicider ou bien elle croit que le spectacle de demain sera une aimable partie de galipettes entre filles ?— Ni l’un ni l’autre : elle a en elle une force et une liberté que tu ne peux pas imaginer.— En tout cas, dommage : j’adore lire le désespoir dans les yeux des prisonnières quand elles découvrent qu’il n’a jamais été question de les laisser partir. C’est ce qu’on appelle la torture par l’espoir.— Elle est imperméable à tes idées perverses. Tu verras que demain soir, elle marchera vers son supplice la tête haute, sans qu’il soit besoin de la traîner.— Demain soir, elle découvrira surtout sa douleur. En attendant, tu veux bien me passer la clé de sa cellule, s’il te plaît ?— Tu veux faire quoi ?— Euh… abuser un peu d’elle, quoi ! À chacune son tour, non ?— Pas question ! Il faut qu’elle se repose, pour être en forme demain.— Mais je ne lui infligerai pas de sévices, ou alors des tous petits, tous gentils, qui ne se verront pas ! S’il te plaît, Nolwenn !— Je sais bien que tu ne demandes pas mieux que de rendre service, mais j’ai dit : non. Je te rappelle qu’ici, c’est moi qui décide. Je ne veux même pas savoir quelle idée démoniaque a germé dans ton cerveau malade, au sujet de ces « tout petits sévices ».— Égoïste ! Tu la veux pour toi seule, parce qu’elle est ...
... belle. Et puis, je vois bien l’éclair qu’il y a dans tes yeux quand tu parles d’elle. Tout à l’heure, quand vous étiez ensemble, j’ai regardé les écrans de surveillance de sa cellule, et ce que j’ai vu m’a bien excitée. Elle est douce et fait très bien l’amour, elle te baise comme personne d’autre, et toi, même si tu ne veux pas l’avouer, tu es encore amoureuse d’elle… Une claque sonore s’abat sur la joue de la Doctoresse. Pour la faire taire. — Tu verras bien demain, pendant le spectacle, si je l’aime encore, et en attendant, tu ferais bien d’aller te coucher, toi aussi. Tu as des cernes sous tes yeux. Ou alors, si tu n’as pas sommeil, tu peux me rejoindre dans mon lit, et alors je te montrerai que j’ai oublié cette petite aventurière…— Pourquoi il faut un lit ? On est tranquille, ici. J’ai envie de toi, juste là. Je suis jalouse d’elle… Le son des vêtements glissant sur le sol. Le bruit des succions humides et des gémissements. Le chant rauque que je connais si bien, celui qui jaillit de la gorge de Nolwenn quand elle jouit, la tête renversée en arrière. Elle a dû rester debout, campée fermement sur ses longues jambes légèrement écartées. La Doctoresse doit être à genoux pour lui lécher la chatte à grands coups de langue, baignée dans des odeurs de mouille. Ou bien l’autre orifice, en écartant les globes fessiers à pleines mains, comme on ouvre une orange mûre pour s’abreuver de la pulpe sucrée. Je me construis mentalement une image de leur étreinte et y ajoute des détails ...