Latifa reprend du service
Datte: 10/10/2020,
Catégories:
f,
ff,
fff,
asie,
cadeau,
prost,
nympho,
bizarre,
amour,
fsoumise,
fdomine,
humilié(e),
vengeance,
jalousie,
dispute,
Voyeur / Exhib / Nudisme
vidéox,
pied,
Masturbation
Oral
fdanus,
jouet,
zoo,
sm,
donjon,
attache,
BDSM / Fétichisme
baillon,
yeuxbandés,
fouetfesse,
humour,
aventure,
... immédiatement une érection et l’émission d’une odorante rosée du désir. — Tu peux éjaculer dans ma bouche ?— Bien-sûr, si c’est ça que tu veux. Mais après, je ne pourrai plus te pénétrer.— Pas grave. J’enfourne le morceau de chair. Dans ma vie, je n’ai eu qu’un seul rapport sexuel avec un homme, et cela n’a pas été une réussite. J’avais dix-huit ans, et un prof, qui s’appelait Norbert, me faisait une cour assidue. J’avais déjà connu plusieurs filles et je recherchais des expériences nouvelles, alors j’ai fini par céder en acceptant son invitation au restaurant. Nous sommes ensuite allés chez lui. Il avait trente ans de plus que moi et il était marié, mais sa femme était à l’hôpital, gravement malade. Il voulait seulement que je le suce, ce que j’ai fait. Je n’ai pas aimé l’odeur forte de sa verge, qui s’est comme aujourd’hui levée dès que je me suis approchée, droite comme les fidèles au début de la messe. Cette énorme chose vivante et un peu gluante qui occupait toute ma bouche m’a donné une irrépressible nausée. J’ai voulu tout arrêter avant la conclusion, mais lui, rendu fou par le désir, a voulu me retenir en me saisissant par les épaules, de sorte que j’ai été obligée de lui donner un grand coup de genou dans les testicules pour me dégager et m’enfuir en pleurant. Jamais plus je n’ai accepté d’homme dans mon lit. Curieusement, j’ai gardé de bonnes relations avec ce prof, comme si ce qu’il s’était passé était normal, et lorsque sa femme est décédée, quelques mois plus ...
... tard, je l’ai soutenu quand il défaillait au moment des obsèques. Parce qu’il l’aimait à la folie, bien qu’infidèle. Cette histoire m’a longtemps travaillée, et revient parfois d’une manière détournée dans mes rêves. Je me demande ce qu’il est devenu. Contrairement à celui de Norbert, l’odeur du sexe d’Adrienne est étonnante, mais pas repoussante. Ni homme ni femme, elle est la superposition des deux sexes, et le mélange est subtil. Les poils pubiens sont épilés. Le phallus que j’ai mis dans ma bouche n’est pas envahissant ; peut-être est-il de taille relativement modeste, je ne sais pas, je m’y connais peu dans ce domaine. Un goût salé, un peu astringent, un parfum assez relevé, mais une propreté irréprochable. Si c’est cela, ma dernière cigarette de condamnée, je dois l’apprécier à sa juste valeur. Il ne lui faut pas longtemps pour venir, en se soulageant seulement de quelques gouttes d’un sperme chaud et visqueux que j’avale aussitôt. À entendre son gémissement, son orgasme doit être intense. — Tu es vraiment lesbienne, pas bisexuelle ? Tu te sers de ta bouche d’une façon extraordinaire. Jamais personne ne m’avait donné autant de plaisir. Et dire que c’est toi la cliente !— Merci du compliment. À ton âge, tu as encore beaucoup de choses à découvrir.— Mais je crains qu’il ne nous reste plus beaucoup de temps. Dommage. Je crois que je vais pleurer beaucoup en te regardant mourir.— Si tu me libérais, nous pourrions nous enfuir, toutes les deux. Nous nous cacherions ensemble, ...