1. Latifa reprend du service


    Datte: 10/10/2020, Catégories: f, ff, fff, asie, cadeau, prost, nympho, bizarre, amour, fsoumise, fdomine, humilié(e), vengeance, jalousie, dispute, Voyeur / Exhib / Nudisme vidéox, pied, Masturbation Oral fdanus, jouet, zoo, sm, donjon, attache, BDSM / Fétichisme baillon, yeuxbandés, fouetfesse, humour, aventure,

    ... n’auraient jamais dû partir. Par contre, comme il faut bien assurer le spectacle, je suis chatouillée comme même Nolwenn ne le faisait pas. Puis Élodie prend un grand vibromasseur et le plaque fermement contre mon clitoris déjà épuisé de stimulations, me forçant à un énième et épuisant orgasme. Ensuite, elle me chatouille encore les deux pieds en même temps, et la fatigue aidant, je ne peux plus lutter pour supporter ce qu’elle m’inflige. Vais-je mourir ainsi, sous les doigts d’une capitaine de police ? Si c’est mon destin, qu’il en soit ainsi, puisque j’ai toujours rêvé d’une mort érotique ! J’entends faiblement que sous son masque, Élodie a positionné une oreillette probablement reliée à son téléphone portable et qu’on lui parle. Cette voix, sans doute celle de l’un de ses collègues, est mon seul espoir de survivre à cette aventure. Soudain, j’entends ma nouvelle tortionnaire crier : — On y va ! La cavalerie déboule enfin. Des hommes masqués, vêtus de noir et lourdement armés, ont fracturé les deux battants de porte principale et se précipitent à l’intérieur. Des policiers du RAID, habitués aux situations délicates comme les prises d’otages. Pendant ce temps, la capitaine me libère de mes liens afin que je puisse me mettre à l’abri. La camerawoman lâche sa caméra qui se brise en tombant et tente de prendre la fuite, mais elle est rapidement ceinturée par un homme des forces de l’ordre. Parmi le public, on assiste à une indescriptible panique. Certaines spectatrices ont des ...
    ... maris qui les croient à l’église : il ne faut surtout pas qu’ils apprennent l’inavouable vérité. D’autres, dans l’impudique sororité des voyeuses de ce qui devait être mon exécution publique, avaient descendu le pantalon et la culotte à leurs talons, afin d’être à l’aise pour se masturber. Trop pressées de prendre la fuite, elles en oublient de se rhabiller correctement, de sorte que leurs jambes entravées par les vêtements ne leur permettent pas de courir, et elles chutent de tout leur long, le derrière en l’air. Je vois Nolwenn courir vers une porte dérobée. Elle tient en main une mallette, sans doute remplie des billets de la recette qu’elle ne veut pas abandonner. Apparemment, elle est parvenue à se libérer et l’issue de secours qu’elle a trouvée n’est peut-être pas surveillée de l’extérieur. Auquel cas, elle parviendra à s’échapper afin de commettre de nouveaux méfaits : il faut absolument l’en empêcher ! Sans prendre le temps de me rhabiller, je fonce à sa poursuite. Elle aussi est nue, ayant été dépossédée par Élodie de son costume écarlate. Dehors, il pleut, d’une pluie dense et froide, mais bienfaisante après ce que je viens de subir, et dont je ne ressens aucunement la froidure. Je découvre que l’endroit où nous nous trouvons se situe en bords de Loire, près d’une sablière aux longues grues rouillées. La nuit est déjà tombée, mais la pleine Lune nous éclaire depuis une trouée parmi les nuages. Nolwenn, désorientée, a pris une mauvaise direction et se trouve bloquée ...
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