Latifa reprend du service
Datte: 10/10/2020,
Catégories:
f,
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fff,
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prost,
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bizarre,
amour,
fsoumise,
fdomine,
humilié(e),
vengeance,
jalousie,
dispute,
Voyeur / Exhib / Nudisme
vidéox,
pied,
Masturbation
Oral
fdanus,
jouet,
zoo,
sm,
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attache,
BDSM / Fétichisme
baillon,
yeuxbandés,
fouetfesse,
humour,
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... par un méandre du fleuve. Elle hésite à s’y jeter pour le traverser à la nage, craignant d’être emportée par le courant. C’est une hésitation que je mets à profit pour la rattraper. En chemin, elle a été obligée de se débarrasser de sa mallette qui la ralentissait. Nous avons les pieds dans l’eau boueuse, qui est froide, mais nous n’en avons cure. La bagarre s’engage. Elle est plus grande et plus robuste que moi, mais la colère est mon alliée. Rapidement, nous tombons dans le bain et l’enjeu pour chacune consiste à maintenir l’autre sous l’eau afin de la noyer. Le combat reste longtemps indécis, ponctué de « han ! » rageurs et des vents violents qu’elle envoie sous l’effort, effet secondaire odorant et sonore du laxatif. Je me retrouve immergée, la tête bloquée par les puissantes cuisses qui m’empêchent de me relever, la bouche contre son sexe. Je crois que je vais boire la tasse tout en lui prodiguant un ultime cunnilinctus. Après tout, crever la tête bloquée dans une chatte n’est pas la pire des destinées. Alors, pressée par l’urgence, je fais ce que le code de la morale lesbienne interdit formellement en toute circonstance, à savoir mordre résolument dans le clitoris, à pleines incisives, ce qui est d’autant plus facile que le petit organe est tout gonflé de l’excitation de me voir bientôt noyée. La douleur, accompagnée d’un hurlement, lui fait aussitôt interrompre cette étreinte quelque peu inconfortable pour moi. Cela m’autorise à respirer à nouveau, juste avant ...
... l’explosion de mes poumons. J’en profile pour lui bloquer les bras et mettre fin à la confrontation. Nos épidermes sont intégralement recouverts d’une boue épaisse et grasse, ce qui nous rend méconnaissables au clair de lune. Élodie arrive enfin sur le lieu de la confrontation. Incapable de savoir qui est qui, elle nous tient toutes les deux en joue avec son arme, puis nous relie l’une à l’autre par les poignets au moyen d’une paire de menottes. Nolwenn en profite pour tenter une dernière fois sa chance en se servant de moi comme bouclier, menaçant de m’étrangler avec la chaîne nous reliant toutes deux. Dans un effort surhumain, tant je suis essoufflée, je parviens à me dégager en la faisant basculer par-dessus mon épaule, et mon adversaire chute lourdement dans la boue, éclaboussant tout autour. La policière me reconnaît enfin et me libère, tout en liant avec fermeté les mains de mon adversaire dans son dos. Avec son clitoris blessé, elle aura pendant quelques jours des difficultés à s’offrir l’une des rares distractions accessibles à toutes les détenues du monde : se caresser dans sa cellule. Tant pis pour elle. — Comme on se retrouve, Tifany, se réjouit Élodie. Ou devrais-je t’appeler Murena Styxx, ou bien Nolwenn ? Tu te souviens quand je t’ai arrêtée pour la première fois ? Tu avais un couteau dissimulé dans ton vagin. Et ce soir, tu nous caches quoi ? Un fusil mitrailleur, des grenades ?— Pour le savoir, tu n’as qu’à me fouiller, aboie-t-elle. D’ailleurs, tu adores ça, tripoter ...