Latifa reprend du service
Datte: 10/10/2020,
Catégories:
f,
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humilié(e),
vengeance,
jalousie,
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Voyeur / Exhib / Nudisme
vidéox,
pied,
Masturbation
Oral
fdanus,
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BDSM / Fétichisme
baillon,
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fouetfesse,
humour,
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... Pour ton info, on vient de retrouver ce matin le corps de la cinquième victime, sur un terrain vague. Toujours avec la même expression, le même regard sidéré. Il est possible qu’il y en ait d’autres. On le saura peut-être quand on l’aura coincée. Et maintenant, tout ce que tu trouves à faire, c’est non seulement de coucher avec elle, et même de faire du sado-maso ensemble, mais le top du top, c’est que c’est chez moi que tout ça a lieu ! Son ton va crescendo. Elle hurle la dernière phrase. Elle me voit comme une petite fille prise en flagrant délit de grosse bêtise, un doigt dans la bouche, regardant vers le bas, n’osant pas affronter son regard. Pour la première fois de ma vie, j’ai vraiment peur de quelqu’un, et c’est d’elle. — Nous nous sommes tout pardonné, elle et moi.— Écoute, Latifa, il faudra un jour que tu cesses de te comporter comme une adolescente et que tu deviennes un peu adulte, en mesurant les conséquences de tes actes ! Tu es une libertine, OK, j’étais au courant. Tu couches avec toutes les femmes que tu trouves sur ton chemin, OK. C’est ta vie, tu es libre de jouer avec ton cul autant que ça te plaît, mais s’il te plaît, arrête de jouer avec les sentiments des autres, parce que là, au niveau cœur, ça tourne au massacre ! C’est elle qui est venue te voir, comme ça, chez moi, pendant que je n’étais pas là ?— Oui.— Et elle t’a dit quoi ?— Nous sommes tombées dans les bras l’une de l’autre, sans dire un mot.— Tu as conscience qu’en lui permettant de se cacher en ...
... connaissance de cause, tu te rends complice de ses crimes, et que cela constitue un fait répréhensible ? Je pourrais bien t’arrêter pour cela et te conduire séance tenante à Waldeck, sans même te laisser le temps d’enfiler la moindre culotte, en te traînant à poil devant tous les mecs de ma compagnie jusqu’au lieu de ta garde à vue ! C’est ça que tu veux ? Pour toute réponse, je lui tends mes deux poignets réunis, prête à subir stoïquement les menottes et l’humiliation publique. De grosses larmes toutes rondes de colère et de chagrin mélangés roulent sur ses joues. Elle sanglote, puis est obligée de se moucher. Son rhume n’arrange rien. Moi qui la croyais inoxydable, je découvre maintenant sa fragilité. Un temps de silence nous permet de mesurer le fossé qui vient de se creuser entre nous. — Fais-le, dis-je finalement. Met-moi hors d’état de nuire : je le mérite.— Comme ça, tu serais fouillée au corps, à poil, et puis envoyée dans une prison surpeuplée, en cellule avec plein d’autres femmes avec lesquelles tu pourrais t’en donner à cœur joie, sans parler des matonnes dont certaines seraient peut-être à ton goût. Je suis certaine que tu y prendrais ton pied, et qu’il y aurait de quoi raconter des tas d’histoires coquines. Et puis, j’aurais l’air fine en expliquant au procureur que la criminelle la plus recherchée de Nantes s’est cachée pendant trois mois, devine où ça ? À mon domicile personnel ! Pas question ! Tu vas t’habiller d’une manière décente, prendre tes affaires, et ...