Latifa reprend du service
Datte: 10/10/2020,
Catégories:
f,
ff,
fff,
asie,
cadeau,
prost,
nympho,
bizarre,
amour,
fsoumise,
fdomine,
humilié(e),
vengeance,
jalousie,
dispute,
Voyeur / Exhib / Nudisme
vidéox,
pied,
Masturbation
Oral
fdanus,
jouet,
zoo,
sm,
donjon,
attache,
BDSM / Fétichisme
baillon,
yeuxbandés,
fouetfesse,
humour,
aventure,
... bourguignon que j’ai préparé pour nous deux, mijotant sur la gazinière. Nolwenn m’a attachée sur le grand lit, par poignets et chevilles, allongée sur le dos, bras et jambes en croix, et bâillonnée. Complètement nue, bien sûr, tout comme elle. Et elle s’est procuré une bonne vingtaine de petites araignées peuplant la cave. Les petites bêtes se promènent sur toute la surface de ma peau, ce qui me chatouille terriblement. Mon amante retrouvée cherche à me défaire de cette phobie qui pèse sur moi depuis l’enfance. Elle ne fait pas du Feydeau et ne cherche pas à se cacher dans un placard, sachant que ce serait inutile. La policière reste figée au seuil de la chambre, interdite, découvrant que celle qu’elle recherche activement depuis trois mois se trouvait chez elle pendant tout ce temps et s’y trouve encore. Elle garde son sang-froid et dégaine son arme pour la pointer vers la fugitive. Les regards se croisent, se jaugent et restent en contact. Nolwenn ne se rend pas, persuadée que celle qui la tient en joue n’osera pas tirer. Sans détourner ses yeux, elle ouvre la fenêtre en grand. Le froid nocturne entre dans l’appartement et me fait frissonner. Elle enjambe le rebord, regarde en bas, prend appui sur ses deux pieds… et saute dans le vide ! Près de cinquante mètres de chute parabolique. La nuit l’a comme avalée. Quelques secondes après, on entend un « plouf » étouffé par la distance, preuve qu’elle a plongé dans la Loire, assez profonde à cet endroit. Un incroyable exploit. ...
... Élodie se précipite sur son téléphone, appelle ses collègues, donne des ordres pour qu’on retrouve la fugitive, morte ou vivante. Je me demande si elle prie pour que ce soit le premier cas ou le second. Passé le choc de la surprise, elle me détache et retire mon bâillon. Avec sa chaussure, elle écrase méticuleusement, une à une, en silence, toutes les araignées. Pas une seule de ces innocents arachnides ne survit à la Saint-Barthélemy, preuve qu’elle est très en colère et que c’est contre moi qu’elle en a. — Et dire, dit-elle, que je t’ai gardée chez moi pendant trois mois pour te protéger d’elle.— Je te demande pardon, Élodie, ma chérie…— Tais-toi ! Est-ce que tu as idée des risques que tu prenais en te laissant ligoter sur le lit par une tueuse qui a froidement éliminé, non pas une personne comme on le croyait au début, mais cinq ? Non ? Alors, je t’explique : c’est uneserial killer comme on n’en voit rarement ! Elle n’a pas commis n’importe quels assassinats, avec un flingo un truand ordinaire qui a un compte à régler, non : elle et sa bande ont torturé à mort cinq femmes en les chatouillant et en les masturbant, après leur avoir injecté un produit toxique, extrait de venins d’araignées tropicales, ce qui démultipliait leurs sensations érotiques ! Et comme si cela ne suffisait pas, elle utilisait systématiquement ces araignées pour épouvanter leurs victimes ! Enfin, tu le sais bien, parce que si je n’avais pas été là pour te tirer d’affairein extremis, tu y passais aussi ! ...