1. Conte hardérotique d'été


    Datte: 10/10/2020, Catégories: Mature, Partouze / Groupe Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... s’étaient aussitôt assis près d’elles alors que les deux autres -leurs accompagnateurs- servaient un apéro local (bien corsé et bien connu pour ses pouvoirs d’échauffer les gonzesses) dont les doses affectées à nos femmes devaient largement suffire pour les motiver. Elles -et nous- ne comprirent pas tout mais elles burent d’un trait les super-doses proposées en rigolant à gorge déployée. Evidement une deuxième rasade suivit illico (qu’elles engloutirent bien vite) afin de finir de les mettre dans un état second et de les rendre encore plus disponibles… si besoin était !Après quelques échanges rendus simplistes à cause des difficultés de communications dues à la barrière de la langue, les allemands se rapprochèrent de nos femmes et des mots simples et non équivoques commencèrent à fuser :« schöene frau »… « ya, belles femmes »« vous, … êtes très belles »« nous avons grosse envie de vous »« oui, vous faites bander nous »« belles poitrines… jolies cuisses »« superbes robes »« pas de culotte, dessous ? vous hein ? »« vous aimez sexe ! »Et les gestes vinrent immédiatement en appui, alors qu’elles avaient encore leurs verres à la main : troisième dose !!!), les deux « nouveaux » allemands (ceux qui n’étaient pas sur la plage hier) aventuraient leurs pognes sur les cuisses de nos deux femmes, bien secondés par les deux autres qui n’étaient pas de l’aventure du chemin creux. Nos deux femmes se laissaient palucher les cuisses avec plaisir et aussi maintenant la poitrine en ...
    ... gloussant.Alors, afin de déverrouiller définitivement la situation, leurs deux accompagnateurs du chemin creux, baissèrent leur short et présentèrent leurs deux bites bandées aux visages de nos femmes. Dans un même élan, grisées par l’apéro, elles se laissèrent totalement aller et empoignèrent ces deux mandrins qui flottaient dans l’air. Comme si elles faisaient un concours, elles se saisirent chacune d’une queue, caressèrent les tiges, flattèrent les couilles, décalottèrent les deux glands en jouant de la douceur du bout de leurs doigts. Les deux allemands debout tendirent encore plus leur ventre vers elle, sous les yeux surpris de tant d’audace et de crudité si rapide des quatre autres, tout autant affamés. Nos deux salopes connaissaient bien ces deux queues (elles s’étaient bien faites prendre hier sur la plage et elles les avaient déjà sucées dans le chemin creux !) et ne se firent même pas prier (en français ou en allemand)… elles ouvrirent grand, très grand leur bouche et engloutirent les glands.« oh ya ! suck me »« ya, suce moi jolie femme »Et ils agrippèrent leurs deux têtes à pleines mains par les cheveux et se mirent à accompagner la fellation que nos deux salopes avaient entamée.Du coup, les quatre autres s’affolèrent et se précipitèrent pour participer à la fête entamée de si belle manière. Tous quatre, ils baissèrent et enlevèrent leurs shorts, dégagèrent leurs queues déjà bien bandées, attaquèrent les poitrines et les cuisses de nos deux femmes. Les robes furent troussées, ...
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