Conte hardérotique d'été
Datte: 10/10/2020,
Catégories:
Mature,
Partouze / Groupe
Voyeur / Exhib / Nudisme
... sans me toucher, rien qu’à voir ces pines d’enfer honorer ma femme, lui donner du plaisir (car elle jouissait oui !) et faire pareil avec celle de mon pote (qui m’avoua plus tard avoir déchargé à plusieurs reprises sans se toucher lui aussi).Un grand cri d’un allemand nous fit comprendre, alors qu’il s’était immobilisé dans le cul de ma femme, sa bite enfoncée jusqu’à la garde, ses couilles posées contre ses fesses et ses mains crispées sur sa poitrine, qu’il était entrain de se vider de son foutre en elle. Le signal de la décharge finale était donné car, aussitôt, son voisin se retira du vagin ravagé de la femme de mon pote et arrosa copieusement de foutre sa chatte béante et finit de se répandre sur ses seins plantureux. Les sucés du moment se relevèrent et, saisissant leurs braquemarts à pleine main, vinrent arroser copieusement les visages de nos deux femmes… alors que celui qui enculait la femme de mon pote se mit lui aussi à beugler car il devait également remplir son cul de son foutre. Le sperme coula à flots ; elles en eurent partout sur le visage et ma femme plein ses cheveux de salope (elle aura du mal à me dissimuler ça)… les seins ne furent pas oubliés car ils vinrent finir de se faire dégorger sur les miches disponibles. Nos deux salopes n’en finirent pas de nous surprendre car elles étalaient sur leur corps ...
... toute cette crème blanche.Mieux ! elles vinrent gober et sucer jusqu’à la dernière goutte, en nettoyant les glands avec leur langue, les six bites qui les avaient explorées, caressant les tiges et les couilles des allemands comme pour les remercier de cette orgie.Affolés, subjugués, scotchés, nos slips trempes du foutre que nous avions déversé en tant que « spectateurs », mon pote et moi nous nous éclipsèrent de cette cachette car nous ne voulions pas risquer de croiser nos femmes immédiatement quand elles sortiraient…Mais nous avions tout vu !Là, clair, c’étaient deux salopes qui n’avaient pas peur de se faire enculer ni d’être prises en double pénétration !« on va aller boire un coup tous les deux pour digérer ça »« ouais, on les retrouvera sur la plage »…« elles vont pas pouvoir se changer »« ouais… elles auront du foutre partout »« elles sentiront le stupre les cochonnes »« leurs robes seront tâchées sans doute »…« faudra les galocher pour sentir les goûts et les odeurs »« t’as raison, faudrait les embrasser avant qu’elles se lavent dans l’eau de mer »« ouais, j’ai envie de sentir le foutre des allemands »« je toucherais bien sa moule détrempée »…« finis ton verre, on y va ! »***L’après-midi sur la plage… s’annonçait très chaud et très particulier !!!Je vous laisse imaginer l’état dans lequel nous les avons trouvées…